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Identification des comportements toxicomanog

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Title: Identifications des comportements toxicomanog nes et les facteurs de vuln rabilit Author: Dan VELEA Last modified by: Dan V l a Created Date – PowerPoint PPT presentation

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Title: Identification des comportements toxicomanog


1
Identification des comportements toxicomanogènes
et les facteurs de risque et vulnérabilité
  • Dr Dan VELEA
  • Hôpital Marmottan Paris

2
Comportements de consommation
  • Expérimentateurs
  • Usage occasionnel
  • Usage récréatif
  • Usage régulier
  • Usage nocif (abusif)
  • Dépendance

3
L'usage expérimental
  • L'usage expérimental est un essai ponctuel,
    l'individu cherchant à explorer lui-même les
    effets de la substance, à titre de curiosité.
    C'est une consommation en général unique et sans
    lendemain.

4
L'usage occasionnel
  • L'usage occasionnel est le recours au produit
    dans des circonstances particulières, usage
    convivial par exemple dans le cas du cannabis et
    ecstasy.
  • L'individu recherche une sensation de plaisir, un
    état de bien-être, d'apaisement ou de
    désinhibition.

5
Lusage récréatif
  • Certains consommateurs font un usage récréatif de
    la drogue. La consommation est souvent groupale,
    pendant les loisirs (cannabis, ecstasy, ou
    cocaïne). La recherche de plaisir est au premier
    plan des motivations des consommateurs.
  • Lusage récréatif n'a pas dans limmensité des
    cas des conséquences sur les activités
    socio-professionnelles.
  • La recherche de sensation, la convivialité,
    lappartenance à un groupe, la transgression des
    interdits, les rites dinitiation.

6
L'usage régulier
  • L'usage régulier est au moins quotidien. Il
    implique l'existence d'une dépendance psychique.
    En l'absence de dépendance physique, il n'y a pas
    de syndrome de sevrage. L'usage quotidien perd en
    général son caractère convivial. Lutilisation du
    produit est effectuée pour lutter contre une
    tristesse importante, ou contre des
    manifestations anxieuses. Il s'agit d'une
    tentative d'automédication.

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Utilisation nocive pour la santé (C.I.M.10)
  • Mode de consommation d'une substance psychoactive
    préjudiciable à la santé complications être
    physiques ou psychiques.
  • Le diagnostic repose sur des preuves manifestes
    que l'utilisation d'une ou plusieurs substances a
    entraîné des troubles psychologiques ou
    physiques. Ce mode de consommation donne souvent
    lieu à des critiques et a souvent des
    conséquences sociales négatives. La
    désapprobation par autrui, ou par l'environnement
    culturel, et les conséquences sociales négatives
    ne suffisent toutefois pas pour faire le
    diagnostic.

8
  • Selon lOMS la dépendance se définit comme un
     état psychique et parfois physique, résultant
    de l'interaction entre un organisme vivant et une
    substance psychoactive caractérisé par des
    réactions comportementales et autres, qui
    comportent toujours une compulsion à prendre la
    substance de façon continue ou périodique de
    façon à ressentir ses effets psychiques et
    parfois éviter le sevrage. La dépendance apparaît
    ainsi comme le résultat des effets
    pharmacologiques des produits psychoactives
    additifs et de l'interaction avec l'équipement
    neuro-biologique de l'organisme .

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Critères de la dépendance selon DSM-IV
  • La dépendance est un mode dutilisation
    inapproprié dune substance, entraînant une
    détresse ou un dysfonctionnement cliniquement
    significatif, comme en témoignent trois (ou plus)
    des manifestations suivantes, survenant à
    nimporte quel moment sur la même période de
    douze mois 
  • tolérance, définie par lune ou lautre des
    manifestations suivantes 
  • Besoin de quantités nettement majorées des la
    substance pour obtenir une intoxication ou
    leffet désiré 
  • Effet nettement diminué en cas dusage continu de
    la même quantité de substance.
  •  

10
  • sevrage, comme en témoigne lune ou lautre des
    manifestations suivantes 
  • Syndrome de sevrage caractéristique de la
    substance 
  • La substance est prise dans le but de soulager ou
    déviter les symptômes de sevrage
  • Substance souvent prise en quantité supérieure ou
    sur un laps de temps plus long quenvisagé 
  • Désir persistant ou efforts infructueux pour
    réduire ou contrôler lutilisation de la
    substance 
  • Temps considérable passé à se procurer la
    substance, la consommer ou récupérer de ses
    effets 
  • Les activités sociales, occupationnelles ou les
    loisirs sont abandonnées ou réduites en raison de
    lutilisation de la substance 
  • Poursuite de lutilisation de la substance malgré
    la connaissance de lexistence dun problème
    physique ou psychologique persistant ou récurrent
    déterminé ou exacerbé par la substance.
  •  

11
Critères de laddiction GOODMAN (1990)
  • A. Impossibilité de résister aux impulsions à
    réaliser ce type de comportement.
  • B. Sensation croissante de tension précédant
    immédiatement le début du comportement.
  • C. Plaisir ou soulagement pendant sa durée.
  • D. Sensation de perte de contrôle pendant le
    comportement.
  • E. Présence dau moins cinq des neuf critères
    suivants 

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  • Préoccupation fréquente au sujet du comportement
    ou de sa préparation.
  • Intensité et durée des épisodes plus importantes
    que souhaitées à lorigine.
  • Tentatives répétées pour réduire, contrôler ou
    abandonner le comportement.
  • Temps important consacré à préparer les épisodes,
    à les entreprendre ou à sen remettre.
  • Survenue fréquente des épisodes lorsque le sujet
    doit accomplir des obligations professionnelles,
    scolaires ou universitaires, familiale ou
    sociales.
  • Activités sociales, professionnelles ou
    récréatives majeures sacrifiées du fait du
    comportement.
  • Perpétuation du comportement, bien que le sujet
    sache quil cause ou aggrave un problème
    persistant ou récurrent dordre social,
    financier, psychologique ou psychique.

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  • F. Tolérance marquée besoin daugmenter
    lintensité ou la fréquence pour obtenir leffet
    désiré, ou diminution de leffet procuré par un
    comportement de même intensité.
  • G. Agitation ou irritabilité en cas
    dimpossibilité de sadonner au comportement.

14
Le schéma trivarié des addictions
15
  • 1 Pharmacologie, prohibition...
  • 2 Psychanalyse, psychobiologie...
  • 3 Sociologie, théories de l'étiquetage...
  • 4 "Modèles de maladie"...
  • 5 Abords culturels, historiques...
  • 6 Intégration, déviance, systémisme...

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Facteurs de risque et vulnérabilité en toxicomanie
  • La relation entre facteurs de risque et de
    vulnérabilité
  • Interaction de trois facteurs 
  • - facteurs de risque liés aux produits (P)
  • - facteurs individuels de vulnérabilité (I)
  • - facteurs de risque environnementaux (E)

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Risque
  • Emprunté à l'italien risco référé au latin
    resecum , il signifie couper de là écueil
    puis risque que court une marchandise en mer .
    Issu du latin rixare (qui a donné rixe), se
    quereller, de ce fait résister, il conduit à
    l'idée de danger. Le risque serait un danger
    potentiel, révélé ou réveillé par un acte et/ou
    une représentation.

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Facteurs de risque liés aux produits
  • pouvoir toxicomanogène (dépendance et tolérance)
    des produits
  • risque dapparition de complications sanitaires,
    psychologiques et sociales
  • statut social du produit

19
 
 
20
Facteurs individuels de vulnérabilité
  • Emprunté au latin  vulnérabilis   qui peut
    être blessé , lui-même de vulnus. Vulneris -
    c'est à dire blessure- la vulnérabilité traduit,
    dans le langage commun, une faiblesse, une
    déficience, un manque, une grande sensibilité
    spécifique à partir desquels l'intégrité d'un
    être, d'un lieu, se trouve menacée d'être
    détruite, diminuée, altérée.
  • Freud utilise la notion de série complémentaire
    (Erganzungsreihe) pour désigner une série de
    facteurs endogènes et exogènes. L'idée d'une
    multiplicité de facteurs, liés entre eux, mais de
    valeurs différentes selon le cas, pourrait
    expliquer la vulnérabilité à un état
    psychologique spécifique.

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Facteurs individuels de vulnérabilité
  • - facteurs génétiques
  • - facteurs biologiques
  • Les études génétiques portent sur les
    neurotransmetteurs, en particulier la dopamine et
    le système de récompense dopaminergique.
  • Dautres voies sont explorées opioïdes,
    gabaergiques, sérotoninergiques.
  • Des altérations au niveau des gènes codant pour
    les récepteurs dopaminergiques D2 et D4, et
    sérotoninergiques 5-HTTLPR pourraient ainsi être
    à lorigine du  syndrome de déficience de la
    récompense .

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Facteurs individuels de vulnérabilité
  • - facteurs psychologiques
  • - facteurs psychiatriques

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  • COMPORTEMENTS
  • - instabilité, impulsivité/agressivité, troubles
    des conduites et interactions sociales (bagarres,
    destruction des biens, pyromanie, violence,
    cruauté, conduite à risque)
  • - troubles affectifs (humeur triste, anhédonie,
    faible estime de soi, auto-dépréciation,
    timidité, crises de larmes, repli sur soi, idées
    suicidaires, difficultés relationnelle et de
    résolution des problèmes interpersonnels)
  • - niveau élevé de recherche de sensations
    (Sensation Seeking Scale -Zuckerman), de
    nouveauté, faible évitement du danger
  • COMORBIDITE PSYCHIATRIQUE
  • - troubles anxieux (attaques paniques, phobies et
    peurs)
  • - troubles des conduites - TDAH
  • - troubles du sommeil (insomnie, réveil nocturne,
    cauchemars)
  • - troubles des conduites alimentaires
    (anorexie/boulimie)
  • - troubles psychosomatiques (maux de tête,
    migraines, spasmophilie)

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Le modèle psychobiologique de Clonninger
  • Ce modèle prend en compte les dimensions de
    tempérament et de caractère de lindividu.
  • Le tempérament correspond aux composantes
    héritables, dexpression précoce qui
    interviennent dans lapprentissage par des
    processus inconscients. Les dimensions du
    tempérament sont 
  • - Recherche de nouveauté
  • - Évitement du danger
  • - Dépendance à la récompense
  • - Persévérance

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Le modèle psychobiologique de Clonninger
  • Le caractère traduit la réorganisation des
    concepts de lindividu en réaction au vécu de
    lexpérience. Les dimensions du caractère sont 
  • - Détermination la capacité dun individu à
    contrôler et adapter son comportement afin de
    sajuster à une situation donnée.
  • - Coopérativité un score élevé correspond à
    une tendance à lempathie, à la compassion et un
    score bas correspond à lintolérance, désintérêt
    social, sentiment dhostilité.
  • - Transcendance illustre la capacité du
    sujet dappartenance à un tout.

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Facteurs liés à lenvironnement
  • - facteurs sociaux (exposition précoce aux
    produits, marginalité)
  • - facteurs familiaux (consommation des produits,
    dysfonctionnements familiaux)
  • - le rôle de lentourage
  • - facteurs socio-culturels (immigration,
    acculturation)

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  • FAMILIAUX
  • - relations violentes, conflictuelles
  • - comorbidité psychiatrique familiale
  • - événements de vie traumatiques (deuils,
    séparations, abus sexuels, incestes, grossesses
    non-désirées)
  • SCOLAIRE
  • - absentéisme, retard
  • - baisse des résultats
  • - refus scolaire
  • - phobie scolaire
  • PAIRS
  • - entourage qui consomme régulièrement
  • - rites dinitiation
  • - marginalisation

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Facteurs de protection
  • - niveau élevé dintelligence
  • - capacité de résoudre les problèmes
  • - compétences sociales
  • - estime de soi
  • - soutien familial adapté
  • - compétences scolaires

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Résilience
  • Le terme de résilience est utilisé dans le
    domaine de la physique pour traduire la
    résistance de matériaux à la pression.
  • Fritz Redl a introduit le concept d ego
    resilience  en 1969.
  • Au milieu des années 1980, plusieurs ouvrages
    consacrés à la  résilience  ont été publiés,
    analysant le destin réussi dindividus que leur
    enfance catastrophique semblait pourtant
    promettre à un sombre avenir
  • Les manières de lutte contre les situations
    traumatiques sont nombreuses construction dun
    monde imaginaire, échappatoire de la réalité,
    prise de distance de lévénement traumatique ou
    la découverte et la construction des solutions
    dadaptation.

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Syndrome général de comportements à risque
(Jessor, 1998)
  • usage de substances psychoactives licites ou
    illicites
  • les comportements dangereux sur la route
    (vitesse, alcool et drogues, non-port de la
    ceinture et du casque)
  • rapports sexuels non-protégés
  • fugues
  • conduites ordaliques (jeu du foulard, roulette
    russe) et suicidaires (en 1999, 604 suicidés
    avaient entre 15 -24 ans)
  • pratique des sports extrêmes
  •  Laddiction au risque (Michel, 2003)

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Ordalie (Valleur, Charles-Nicolas)
  • Lordalie est le terme qui désigne le jugement de
    Dieu et implicitement lacceptation et la
    condamnation des actes.
  • La conduite ordalique désigne le fait pour un
    sujet de sengager de façon plus ou moins
    répétitives dans des épreuves comportant un
    risque, souvent mortel.
  • Le fantasme ordalique serait le fait de se
    remettre à lAutre, au hasard, à la chance, pour
    le maîtriser ou être lélu, et par sa survie de
    prouver tout son droit à la vie, son caractère
    exceptionnel.

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NDE Near Death Experiences
  • Dimensions supérieures des conduites ordaliques,
    recherche de sensations très fortes, proches de
    la mort clinique.
  • Expérimentations avec des drogues de la classe
    kétamine, les flatliners.

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Dimensions de personnalité et addictions
  • Personnalité antisociale (incapacité de se
    conformer aux normes sociales, impulsivité,
    irritabilité, agressivité, irresponsabilité
    persistante, labsence de remords et de critique
    de ses actes)
  • Personnalité borderline (instabilité des
    relations interpersonnelles, alternance entre
    lidéalisation excessive et la dévalorisation de
    l'image de soi, impulsivité, peur dabandon,
    répétition de comportements ou de menaces
    suicidaires, sentiments chroniques de vide.
  • Personnalité histrionique (réponses émotionnelles
    excessives, quête d'attention, les interactions
    avec autrui sont caractérisées par un
    comportement de séduction, dramatisation,
    théâtralisme.

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Le stress, facteur vulnérabilisant
  • Le stress apparaît comme un important facteur
    vulnérabilisant des addictions.
  • Le processus de sensibilisation peut être
    initié mais aussi entretenu par lusage de
    substances psychoactives et/ou les facteurs
    stressants. Ainsi, certaines drogues (cocaïne,
    LSD, ecstasy), peuvent accélérer le processus de
    sensibilisation. Dans cette situation, ces
    consommations créés un cercle vicieux, dans
    lequel la consommation initiale ayant comme
    objectif lapaisement dun état de tension
    interne, entraîne finalement dautres
    consommations (de la même substance ou des
    substances réputées calmantes) qui cherchent à
    calmer le nouveau état de stress.

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Laddiction, forme dadaptation au stress
  • La désorganisation sociale apparaît comme un
    précurseur de l'addiction.
  • Le concept d'intégration psychosociale fait
    référence aux interactions entre les expériences
    individuelles et de groupe, et la réaction du
    groupe (acceptation, rejet) face aux individus.
    Une désorganisation oblige les personnes à lutter
    pour la restauration de l'intégration
    psychosociale dans certaines situations cette
    restauration semble impossible et nécessite la
    création de conduites d'adaptation, conduites qui
    représentent des substituts de modes de vie
    (addiction, marginalité, criminalité, replis sur
    soi, troubles anxio-dépressifs, tentatives de
    suicides).

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  • L'apparition et le maintien de l'addiction
    représente une forme d'adaptation aux conditions
    difficiles de vie, aux stress et sollicitations
    diverses. La centration sur les substances
    psychoactives (héroïne, alcool, cocaïne,
    cannabis), ou sur les addictions
     silencieuses , comportementales (jeu
    pathologique, addiction sexuelles,
    cyberdépendance, ergomanie) sont des manières
    adaptatives en rapport avec le culte de la
    performance, aux sollicitations compétitives, au
    syndrome de burn-out, aux épuisements et
    insatisfactions récurrentes

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  • L'usage régulier de certaines substances
    psychoactives est souvent rencontré chez des
    personnes qui sont confrontées aux difficultés
    persistantes d'adaptation au stress.
  • Chez ces personnes, la seule manière évidente de
    faire face et de s'en sortir  coping  est le
    recours aux drogues dites de  confort 
    (héroïne, cocaïne, cannabis ou médications
    psychoactives) ou aux comportements addictifs.
  • On assiste ainsi à l'apparition d'un cercle fermé
    dans lequel plus on a recours à ces produits,
    plus la capacité de s'en sortir est diminuée.
    Dans ces conditions la capacité d'assumer des
    responsabilités individuelles diminue, les
    personnes focalisent de moins en moins sur les
    problèmes initiaux et les facteurs stressants qui
    les amènent à consommer ces produits s'accentuent
    de plus en plus.

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  • Recherche
  • des
  • solutions 

Stress quotidien  - Insuffisance défaillance
de lintégration - Crise socio-économique - Crise
familiale - Manque de lestime de soi -
Environnement hostile
Adaptations  - Addiction aux substances
illicites ou licites - Jeu pathologique,
sexualité compulsive, cyberaddiction -
Criminalité - Refuge mystique ou sectaire
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