Title:
1Épidémiologie descriptive
- Luc Dauchet
- l-dauchet_at_chu-lille.fr
2PLAN
- Définition
- Indicateurs de santé
- Sources de données
- Recueil systématique
- Les études et Enquêtes
- Exemples de résultats
- Illustration "Le french paradox"
3PLAN
- Définition
- Indicateurs de santé
- Sources de données
- Recueil systématique
- Les études et Enquêtes
- Exemples de résultats
- Illustration "Le french paradox"
4Cest quoi lépidémiologie?
- Épidémiologie (grec epi au-dessus, parmi
demos peuple, district logos mot, discours) - science de ce qui affecte la population
5Cest quoi lépidémiologie? en vrai
Compter
6Cest quoi lépidémiologie? en vrai
Compter les personnes, les malades, les Décès..
7Pourquoi compter?
- Décrire épidémiologie descriptive.
-
-
Observation
Comprendre épidémiologie analytique
Évaluer épidémiologie évaluative
8Pour qui ?
Professionnels de santé Mieux cibler les
intervention Prévention action soins
Les politiques et les administrations décider.
(promotion de la santé, éducation à la santé)
Les gestionnaires planifier, allouer organiser
Les usagers savoir défendre leurs causes.
9Epidémiologie Descriptive (ED)
- LED vise à déterminer la fréquence et la
répartition des maladies, des paramètres de santé
et des facteurs de risque dans la population en
terme de - lieu Où ?
- temps Quand ?
- personnes Qui ?
- Elle sexprime essentiellement sous forme de taux
appelés indicateurs de santé.
F.Richard
10Objectifs de l'Epidémiologie descriptive
- 1.1 Contrôle sanitaire
- 1.2 Meilleure connaissance des besoins de prise
en charge médicale des populations - 1.3 Evaluation d'une action de santé
- 1.4 Formulation dhypothèses dans la recherche
étiologique - Variations dans le temps
- Variations géographiques
F.Richard
11Objectifs Contrôle sanitaire
- Surveillance et alerte
- Repérer les individus atteints de maladie
- Mettre en place des mesures
- Isolement (SRAS)
- Traitement des malades (Tuberculose)
- Traitement prophylactique de l'entourage
(Méningite) - Repérer et neutraliser la source de la
contamination (TIAC) - ...
F.Richard
12Objectifs Meilleure connaissance des besoins de
prise en charge médicale des populations
Exemple Fréquence de la trisomie 21 selon l'âge
maternel
Source BEH N 9/1997
F.Richard
13Objectifs Evaluer une action de santé
Source M/S, 2002, 18.
F.Richard
14Objectifs Formulation dhypothèses dans la
recherche étiologique
Alimentation? Ensoleillement ?
F.Richard
15(No Transcript)
16Les indicateurs détat de santé.
- Deux grandes catégories
- Les indicateurs de mortalité
- les indicateurs de morbidité.
F.Richard
17Mortalité Les taux de mortalité.
- Le taux brut de mortalité correspond au nombre
de décès survenant au cours de lannée par
rapport à la population totale. - Les taux spécifiques de mortalité apportent des
informations sur certains groupes de sujets ou
sur certaines causes de mortalité.
F.Richard
18Mortalité Les taux de mortalité.
- Taux de mortalité.
- Cest ainsi que sont calculés la plupart des taux
de mortalité en France (à partir des certificats
de décès).
F.Richard
19Taux de létalité
- Proportion de sujets qui nouvellement atteints
d'une maladie en meurent - Indice de gravité d'une maladie
- Létalité à x temps (à 28 jours, à un an, )
20Lespérance de vie
- Lespérance de vie à un âge donné est le nombre
moyen dannées que peut espérer vivre une
personne à partir de cet âge (si lâge est 0, on
parle despérance de vie à la naissance) - En 2005, lespérance de vie
- A la naissance en France était de 76,8 ans pour
les hommes, de 83,8 ans pour les femmes. - A 60 ans cette espérance de vie était de 21,5 ans
pour les hommes, 26,4 pour les femmes
Source INSEE,
F.Richard
21Mortalité Espérance de vie.
- Lespérance de vie à la naissance ou durée
moyenne de vie. - Il sagit de la moyenne des âges au décès dune
génération où une génération représente
lensemble des personnes nées une même année. - Il sagit dun indice synthétique calculé à
partir des tables de mortalité. - En théorie, lespérance de vie à la naissance ne
peut se calculer que lorsque tous les membres
dune même génération sont décédés. En pratique
modélisation.
F.Richard
22Espérance de vie à la naissance en France
(1950-2002)
F.Richard
23Prévalence
- La prévalence mesure la proportion de lensemble
des cas à un instant donné dans une population
donnée.
F.Richard
24Incidence et taux dincidence
- Incidence en rapport avec l'apparition de
nouveaux cas dans une population donnée pendant
une période donnée. - Les taux dincidence vont permettre de quantifier
lapparition des nouveaux cas de maladie pendant
une période t dobservation dans une population
de sujets initialement non malades.
F.Richard
25Différence fondamentale entre prévalence et
incidence Exemple VIH
Au canada
Augmentation de lespérance de vie des malades
26Facteurs modifiant l'incidence et la prévalence
Incidence Prévalence
Augmentation des facteurs de risques
Amélioration de la prise en charge gt guérison plus rapide
Amélioration de la prise en charge gt durée de survie plus longue
Dépistage / amélioration des méthodes diagnostiques.
Meilleur déclaration
Changement de définition de la maladie
????
????
27standardisation
28standardisation
Taux comparatifs de décès (ou taux
standardisés) Taux de décès si la structure
dâge était la même dans tous les départements
29Mortalité brut par cancer/100000 hab Source
cépiDC
30(No Transcript)
31PLAN
- Définition
- Indicateurs de santé
- Sources de données
- Recueil systématique
- Les études et Enquêtes
- Exemples de résultats
- Illustration "Le french paradox"
32- Sources de données mortalité.
- les certificats de Décès
Certificat de Décès
Mairie
État civil
ARS (agence régional de santé)
Unité INSERM CepiDC
Codage
Données médicales
33(No Transcript)
34(No Transcript)
35- Sources de données mortalité.
- les certificats de Décès
Certificat de Décès
Mairie
État civil
ARS (agence régional de santé)
Unité CepiDC
Codage
Données médicales
36http//www.cepidc.vesinet.inserm.fr/
37(No Transcript)
38(No Transcript)
39(No Transcript)
40(No Transcript)
41(No Transcript)
42(No Transcript)
43(No Transcript)
44(No Transcript)
45(No Transcript)
46Sources de données de morbidité
- Maladie à déclaration obligatoire
- Maladies transmissible (tuberculose, méningite,
SIDA..) - Permettre une prise en charge des risques pour la
communauté (ex. meningite). - Surveillance épidémiologique.
- Mauvaise exhaustivité
47Sources de données morbidité
- Réseaux des médecins sentinelles
- Médecin généralistes participants déclarent
chaque semaine le nombre de cas diagnostiqués
(ex grippe, rougeole, hépatites).gt non
exhaustif mes très rapide
48http//websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/
49Sources de données morbidité
- Centre Nationaux de référence (CNR)
- Expertise microbiologique (ex leptospirose.)
- Données liées au recours aux soins
- PMSI données sur les séjours hospitalier. 1er
objectif financiergt difficulté dexploitation. - CNAMTS gt données des Affection longue durée
50Sources de données morbidité
- Sources de données
- Chacune des sources de données est partielle
Tout le territoire Bonne exhaustivité Diagnostic précis
Réseaux sentinelle -
CNAMTS - -
PMSI -
51PLAN
- Définition
- Indicateurs de santé
- Sources de données
- Recueil systématique
- Les études et Enquêtes
- Exemples de résultats
- Illustration "Le french paradox"
52Les enquêtes
- Limites des recueils systématiques
- Pas de choix des données
- Informations limités
- Pas de définition standardisée
- Pas de contrôle de qualité des données
- Nécessité denquêtes spécifiques.
- Exhaustive.
- Sur échantillon
53Types denquête descriptives
- Les enquêtes transversales gtprévalence
- longitudinale (cohortes, registre) gt incidence
Le 5 Janvier 2006
questionnaires
questionnaires
questionnaires
Le 10 janvier 2016
Le 10 janvier 2006
54Cohortes
Maladie
Maladie
Maladie
Maladie
Maladie
Grosses cohortes gt 10000 personnes sur de
nombreuses années
55Les registres de morbidité
- Définition
- Recueil continu et exhaustif de données
nominatives intéressant un ou plusieurs événement
de santé dans une population géographiquement
définie, à des fins de recherche et de santé
publique, par une équipe ayant les compétences
appropriées. -
- (Arrêté du 6 novembre 1995 relatif au Comité
National des Registres)
F.Richard
56Les registres de morbidité
- Permet létude de
- lincidence dune pathologie
- de sa mortalité
- de sa létalité
- A but purement descriptif mais aussi peut aider à
lévaluation dactions de santé publique (impact
d'une campagne de dépistage).
F.Richard
57Les registres de morbidité
- Un registre va permettre de connaître les
fluctuations dans le temps de phénomènes
morbides. - Ils sont adaptés à létude des fluctuations à
court terme daffections ayant un diagnostic
objectif. - Ils permettent également létude de fluctuations
à moyen terme . - Compte tenu du caractère limité de la région
géographique couverte par le registre, il est
souhaitable de pouvoir confronter les données de
plusieurs régions ou pays (fluctuations
géographiques). - Ceci pose demblée la question de coordination de
registres et de leur insertion dans des réseaux
internationaux.
F.Richard
58Exemple de Registre de Morbidité Projet MONICA
- Du début du XXème siècle à la fin des années 60
lincidence des maladies cardiovasculaires a
augmenté dans la population - A partir des années 1970 une inversion des
tendances est observée à partir des données
statistiques de mortalité de chaque pays
Artefact ou réalité ?
F.Richard
59Les questions posées en 1979
- La baisse observée de la mortalité par maladies
coronaires est-elle réelle ? - 1 registre des DC et évènements coronaires (10
ans) - méthodes standardisées
- 38 centres , 21 pays, 4 continents
- Si cette baisse est bien réelle
- Les variations des taux de létalité sont-elles
liées aux variations de prises en charge à la
phase aiguë ? - Étude des soins à la phase aiguë
F.Richard
60 Les Registres Français des Cardiopathies
Ischémiques participant au Projet MONICA-OMS
F.Richard
F.Richard
61 Les réponses en 2000
- La baisse de la mortalité par maladies coronaires
est bien réelle - Plus de 20 de baisse chez lhomme et la femme en
10 ans - 2/3 baisse de lincidence, 1/3 amélioration de la
survie
F.Richard
62Les registres de morbidité
- Les plus nombreux en France registres de cancer
soit généralistes, soit spécialisés - Registre des MICI, malformations congénitales,
AVC, - Réseau national ou international
- Enquêtes satellites autour de ce registre
- Pathologies adaptées
F.Richard
63Enquête transversale sur échantillon
64Enquête sur échantillon
65Enquête transversale sur échantillon
- Tout commence aux Etats-Unis, aux élections de
1936, lorsque Franklin D. Roosevelt se représente
contre Alf Landon. Derrière, deux hommes
s'affrontent pour pronostiquer le résultat de ces
élections. Codely, Rédacteur en Chef du Literary
Digest, utilise la technique du vote de paille
quelques jours avant les élections, il fait
paraître des bulletins de vote dans son journal
et demande à ses lecteurs de mentionner leur
choix. Il reçoit deux millions de réponses et
donne Landon gagnant. De l'autre côté, Gallup
interroge 4000 personnes seulement et pronostique
Roosevelt. - La victoire de ce dernier marque la naissance des
instituts de sondage. Gallup est le père de
l'échantillon représentatif, le premier à avoir
eu l'idée de reconstituer une population en
miniature.
66Enquête sur échantillon
- Idéal Donnée exhaustives recensement
- Principe restreindre lenquête à un échantillon
les résultats obtenues sont applicable à
lensemble de la population.
Tirage au sort
67Définitions
Unité statistique
Population cible lensemble des sujets visés
part létude (généralisation)
Population source ensemble des sujets à partir
duquel on constitue léchantillon
Sondage
Base de Sondage liste des unités statistiques
permettant détablir le sondage
Échantillon
68Méthode des quotas
Enquête sur échantillon
- Principe
- Constituer un échantillon ayant les mêmes
caractéristiques que la population cible (âge,
Sexe, CSP.) - Par de tirage au sort.
- Avantage
- Facile à constituer
- Inconvénient
- Pas de contrôle de la représentativité des autres
caractéristiques Biais - Pas de calcul dintervalle de confiance possible
- Utilisés pas les institut des sondages gt
redressement secret de cuisine du chef!!!!
69Enquête sur échantillon
- Contreparties
- Chaque résultat fourni (estimation) est exprimé
dans une fourchette plus ou moins précise - Il existe obligatoirement un certain risque
derreur - Sélection de léchantillon
- Risque de bais de sélection
70Les enquêtes sur un échantillon sont elles
extrapolable à lensemble de la population ?
- Limite des fluctuation déchantillonnage.
- gt erreur de mesure aléatoire
- Plus leffectif est grand plus la précision de la
mesure est grande - Notion dintervalle de confiance
71Interval de confiance
Article 2 Prévalence de la dyslipidémie dans un
échantillon représentatif de la population
Française.
- Résultats ou les trouver?
-
72Les enquêtes sur un échantillon sont elles
extrapolable à lensemble de la population ?
- Notion de Biais
- Un biais est une erreur systématique (non liée au
hasard) qui compromet la validité de l'enquête et
empêchent l'interprétation juste des résultats.
Il existe trois catégories de biais
cm
73Les enquêtes sur un échantillon sont elles
extrapolable à lensemble de la population ?
- Léchantillon doit être représentatif de la
population. - Idéale tirer au sort les personnes dans une
liste exhaustive - Pb pas de liste exhaustive en population generale
(listes électorale, annuaire téléphone, appel de
numéros au hasard .) - Pb tout le monde ne répond pas et nest pas
volontaire - gt risque de Biais déchantillonnage
74Les enquêtes sur un échantillon sont elles
extrapolable à lensemble de la population ?
- Biais de mesure
- Dinvestigation
- De mémorisation
- De déclaration
- De classement
- De comportement
75PLAN
- Définition
- Indicateurs de santé
- Sources de données
- Recueil systématique
- Les études et Enquêtes
- Exemples de résultats
- Illustration "Le french paradox"
76Quest ce qui fait varier un indicateur?
77Variation dun indicateur Histoire naturelle de
la maladie
- Ex Explosion des cas de SIDA au début des années
80)
SIDA nombre de nouveaux cas par millions
d'habitants entre 1985 et 2001 en France
78Variation dun indicateur Lindicateur suit
lévolution des facteurs de risque
79Variation dun indicateur Campagne de dépistage
Variation du nombre de cancer in situ, de cancers
invasifs du col et de mortalité par cancer du col
de l'utérus après la mise en place d'une campagne
de dépistage en Colombie Britannique.
Anderson et al, 1988
80Variation dun indicateur Amélioration de
laccès aux soins
Il est corrélé au nombre de spécialistes. Peut
expliquer des différences entre pays
Associations entre le de cancer du sein in situ
et le nombre d'équipement mammographique/ 10 000
femmes aux USA
Femmes afro-américaines (r 0.68)
Femmes caucasiennes (r 0.34)
Source Cancer, 2005, 103
81Mortalité maternelle Royaume-Uni 18401960
Variation dun indicateur Amélioration de la
prise en charge
Améliorations de la nutrition, hygiène
Antibiotiques, banques de sang, améliorations
chirurgicales
Soins prénatals
Maine 1999.
82Variation d'un indicateur Motivation à déclarer
BEH, 2003, n32
83Variation d'un indicateur Campagnes de
vaccination
Campagne de vaccination Ex méningococcémie .
84Variation d'un indicateur Mise en place d'une
mesure de prévention
Exemple Impact des mesures de prévention
routière mise en place en 1973. .
85Variation d'un indicateur Définitions
différentes
Taux de mortalité périnatale /1000 naissances
selon les définitions nationales. Projet EUROSTAT
Pays Finlande Suède Belgique Danemark Norvège Eco
sse
Déf nationale (rang) 5.4 (1) 5.4 (1) 7.3 (3) 7.4
(4) 7.5 (5) 9.0 (6)
Définitions Mort né ? 28 sg Mort né ? 28 sg Mort
né ? 28 sg Mort né ? 28 sg Mort né ? 28 sg
Naissance vivante ? 16 sg Mort né ? 24 sg
Source Graafmans et al, BJOG, 2001
86Variation d'un indicateur Définitions
différentes
Taux de mortalité périnatale/ 1000 naissances
selon les définitions nationales et une
définition internationale commune (?28 SA).
Projet EUROSTAT
Pays Finlande Suède Ecosse Belgique Norvège Danem
ark
Déf nationale (rang) 5.4 (1) 5.4 (1) 9.0 (6) 7.3
(3) 7.5 (5) 7.4 (4)
Déf Commune (rang) 4.2 (1) 4.7 (2) 5.9 (3) 6.1
(4) 6.3 (5) 6.7 (6)
Source Graafmans et al, BJOG, 2001
87PLAN
- Définition
- Indicateurs de santé
- Sources de données
- Recueil systématique
- Les études et Enquêtes
- Exemples de résultats
- Illustration "Le french paradox"
88Petite histoire du French paradox
- Méfiez vous des indicateurs
- Dapres Ducimetierre P dialogues un
cardiovascular medecine vol 13 No. 3 2008
89Naissance du concept
- Première citation ?
- Richard JL, Cambien F,Ducimetière P.
Particularités épidémiologiques de la
maladiecoronaire en France.Nouv Presse Med.
1981101111-1114. - Cohorte de Policier Parisiens
- Consommation élevée D acides gras
- Faible incidence daccident coronaires (1/3 de
moins que les cohortes américaines.)
90Etude des 7 pays (daprès Keys 1980)
Diet-heart concept
- METHODES
- Etude portant sur 16 échantillons de population
provenant de 7 pays différents. - RESULTATS
- Corrélation entre les apports en AG saturés et la
mortalité coronaire (r0.84).
Plus la consommation AG et EG saturé plus le
risque cardiovasculaire est élevés.
W Willet Nutritional Epidemiology 1990
91Les données de mortalités
Classification internationale des maladies
92Les cohortes
93French paradoxe Définition
- Mortalité Coronarienne particulièrement bas en
France (certificats de décès, certaines
cohortes) - Consommation dAG élevée (source économique,
importation exportation etc) - gt contradiction.
94French paradoxe Pourquoi?
95Les données des registres MONICA
96Les données des registres MONICA
France
Conclusion risque coronarien nest pas très
inférieur en France la localisation géographique
est plus importante que la pays (différences
importantes entre les centres Français )
97Les données des enquêtes en population MONICA
POP
98Conclusion
- French paradox semble être un artefact lié à
des mesure inadapté. - gt Nécessité dun regard critique sur les
chiffres!
Ducimetierre P
99FIN