LA PYRAMIDE GYPTIENNE

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LA PYRAMIDE ÉGYPTIENNE

• Georgiana ENACHE
• Radu Catalin MIHAESCU
• Horatiu Octavian HERLING

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• La pyramide est-elle une porte entre science et
  religion?

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INTRODUCTION

• SCIENCE ET RELIGION - POINTS DE CONTACT
• IDÉES RELIGIEUSES ET THÉORIES SCIENTIFIQUES

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POINTS DE CONTACT ENTRE SCIENCE ET RELIGION

• La Grande Pyramide prouve être un précieux
  dépôt de vérités importantes scientifiques,
  historiques et prophétiques et son témoignage
  est en parfaite harmonie avec la Bible dont elle
  exprime par de magnifiques symboles bien
  appropriés, les éléments saillants de ses
  vérités.  Elle n'est aucunement une adjonction à
  la révélation écrite cette révélation est
  complète et parfaite, n'ayant besoin d'aucun
  supplément.  Mais elle est un puissant témoignage
  corroboratif du plan de Dieu.  La plupart de ceux
  qui l'étudient soigneusement, remarquant
  l'harmonie de son témoignage avec celui de la
  Parole écrite, ne peuvent manquer d'avoir le
  sentiment que la construction de la Grande
  Pyramide fut projetée et dirigée par la même
  sagesse divine et quelle est bien la colonne
  de témoignage dont parle le prophète dans la
  citation ci-dessus.

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IDÉES RELIGIEUSES ET THÉORIES SCIENTIPHIQUES

• Si la Pyramide a été construite sous la
  direction de Dieu pour lui servir de témoin
  devant les hommes, nous pouvons avec raison
  présumer que certaines allusions y sont faites
  dans la Parole de Dieu.  Et cependant, puisque ce
  fut évidemment une partie des desseins de Dieu de
  tenir secrets jusqu'au Temps de la Fin les
  éléments du plan duquel elle donne témoignage,
  nous devrions nous attendre à ce que toute
  mention de ce monument faite dans les Écritures
  soit voilée pour n'être comprise qu'au temps
  convenable seulement. Il y a donc là une
  indication d'un caractère le plus sublime et le
  plus élevé auquel la simple science humaine a
  tout au plus fait allusion, et qui semblerait
  insuffler une signification insoupçonnée et
  puissante aux paroles de Dieu lorsqu'il demandait
  à Job
• La Grande Pyramide nous parle, non au moyen de
  hiéroglyphes ou de dessins, mais simplement par
  sa position, par sa structure et par ses
  dimensions. Les seules marques ou figures
  originales qui furent trouvées étaient dans les
  chambres de construction , étagées au-dessus de
  la Chambre du Roi . Aucune inscription de
  quelque nature que ce soit na été retrouvée dans
  les passages et les chambres de la Pyramide
  proprement dite. Nous laissons de côté, faute de
  place, les leçons scientifiques à tirer de ce
  monument parce que pas un lecteur moyen sur cent
  ne comprendrait les termes scientifiques de façon
  à apprécier les démonstrations, et spécialement
  parce qu'elles ne feraient pas partie de notre
  mission qui est d'annoncer l'Évangile.  Il nous
  suffira donc de suggérer comment la Grande
  Pyramide apporte des enseignements aux savants. 

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DÉVELOPPEMENT

• UNE CONSTRUCTION PARFAITE DEDIÉE AUX CROYANCES
• LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS?IMOTHEP
• LEFFET DE PYRAMIDE
• LE SYMBOLISME RELIGIEUX
• LE CULTE DU PHARAON MORT

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UNE CONSTRUCTION PARFAITE DEDIÉE AUX CROYANCES

• Au point de vue de l'enseignement qu'elle
  donne, la Grande Pyramide, vue de l'extérieur, a
  une belle signification et représente le plan
  achevé de Dieu, tel qu'il sera réalisé à la fin
  de l'Age millénaire. Le couronnement sera Christ,
  la Tête (ou Chef) reconnue de tous.  Les autres
  pierres seront parfaitement disposées à leurs
  places respectives dans cet édifice glorieux,
  complet et parfait. La taille, le polissage et
  l'ajustement de chaque pierre seront alors
  achevés. Toutes les pierres seront liées et
  cimentées ensemble, les unes aux autres et à leur
  Tête, par l'amour.  Si dans son ensemble, la
  Grande Pyramide représente le plan de Dieu
  complet, sa pierre angulaire du sommet devrait
  représenter Christ que Dieu a souverainement
  élevé pour être le Chef de tous.

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LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS?IMOTHEP

• La force de frottement doit être légèrement
  supérieure à la force de réaction. En effet, en
  cas d'arrêt, le bloc doit s'immobiliser et ne pas
  redescendre. Sur le sol, 2 rondins étaient
  disposés pour servir de rail, la petite section
  vers le bas et vers l'extérieur.
• La pente était suffisamment large pour
  permettre la montée, le trafic de retour et
  l'intendance. Cette pente était supprimée à
  reculons, en reconstituant, par le haut, la forme
  définitive de la pyramide.
• C'est sans aucun doute la phase la plus
  particulière imaginée par Imhotep et celle-ci a
  permis de concevoir une pyramide lisse. Elle
  consiste en une rampe hélicoïdale de travers par
  rapport aux faces dans la masse même avec très
  peu de matériaux à poser et à démonter. Voir
  croquis et développement dans les autres
  rubriques. Cette procédure devait obligatoirement
  être préparer au début de la construction même si
  elle était très peu utilisée durant les deux
  phases précédentes. Elle avait l'avantage de
  donner un accès direct à chaque assise, ce qui a
  permis de placer le revêtement. Elle permettait
  d'arriver pratiquement au sommet sur une
  plate-forme de 20x20 coudées où elle ne pouvait
  plus être utilisée.

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LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS?IMOTHEP

• La construction de la grande galerie a du
  demandé beaucoup de temps et d'effort aux
  Egyptiens, compte -tenu de l'importance de la
  salle et du soin apporté à sa réalisation, mais
  les Egyptologues s'interrogent encore sur son
  rôle exact (esthétique, utilitaire, religieux).
• Il existe cependant une théorie pour
  expliquer la présence de la grande galerie,
  consistant à poser que celle-ci faisait partie
  d'une rampe linéaire. Cependant, la pente est
  trop importante ( 50) pour que des hommes aient
  pu tirer les traîneaux manuellement. L'esprit
  est une poulie placée en haut de la galerie mais
  les Egyptiens n'avaient pas la technologie
  nécessaire pour réaliser une poulie solide. Il
  existe cependant un autre objet qui pourrait
  jouer le rôle de poulie Il s'agit de poutres
  polies en pierre ou en bois fixé aux deux parois
  de la galerie, et sur lequel glisseraient les
  cordes.

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LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS?IMOTHEP

• Pour faciliter le déplacement des traîneaux
  sur le chantier (mais il existe aussi d'autres
  raisons...), la partie basse de la rampe linéaire
  est construite progressivement, au fur et à
  mesure de la montée des assises. Seul la grande
  galerie et son mur de soutènement sont construits
  entièrement, avant même la pose de la première
  assise. (l'ensemble mesure 45 m de hauteur et 40
  m de longueur environ)

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LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS?IMOTHEP

• Une fois les blocs de pierre des premières
  assises déposés sur une hauteur de 20 m, deux
  routes de montagne (de couleur rouge brique sur
  le dessin) permettant d'atteindre le sommet de la
  grande galerie sont construites autour de
  celle-ci.
• Cependant, un espace libre est laissé sous
  la nacelle, de façon à ce que celle-ci puisse
  toujours descendre le plus bas possible.

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LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS?IMOTHEP

• Pour hisser les très lourdes poutres
  situées dans les chambres de décharge, les
  Egyptiens ont construit une nouvelle route de
  montagne à la fois très large et en pente douce
  (8 à 10 ) autour des assises construites
  précédemment.
• Cette route pourrait débuter côté est, à
  proximité de la chaussée monumentale sur laquelle
  sont transportés les blocs de granit (voir
  théorie(suite) pour plus de détails).
• Enfin, la construction s'achève par la
  réalisation d'une petite pyramide à 70 m de
  hauteur environ.

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LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS ? IMOTHEP

• Pour hisser les traîneaux sur la rampe, les
  Egyptiens ont pu se servir d'un monte-charge
  archaïque un peu comparable à nos funiculaires
  modernes (cf. figure 1 et 2) En effet, au début
  et à la fin de la montée, tout comme les
  passagers qui sont à l'intérieur de ce type de
  train, le bloc de pierre sur son traîneau reste
  bien droit sur le monte-charge, ce qui permet de
  faciliter beaucoup le chargement et le
  déchargement du traîneau sur celui-ci (par
  contre, pendant le reste du trajet, le traîneau
  est incliné suivant une pente de 25).

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LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS ? IMOTHEP

• Sur la pyramide, les ouvriers halent le
  traîneau en le faisant glisser sur du limon
  humide. Lorsqu'ils sont arrivés à proximité de sa
  rangée, les Egyptiens poussent le bloc
  latéralement pour le déposer sur un tapis roulant
  installé sur le sol (je suppose qu'à la carrière,
  le bloc de pierre avait été posé sur des petits
  rouleaux en cuivre sur son traîneau, de façon à
  faciliter son déchargement). Lorsquelle se
  trouve au-dessus de son emplacement final, la
  pierre repose alors sur trois rondins (il n'y a
  que 3 rondins car le quatrième serait trop
  difficile à retirer ensuite).
•  

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LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS ? IMOTHEP

• Les ouvriers installent deux planchers
  en bois percés de trous par endroits à côté du
  bloc de pierre, parallèlement à deux de ses
  côtés. De plus, pour empêcher les planchers de
  bouger pendant létape suivante, les ouvriers
  halent sur ceux-ci des traîneaux lourdement
  chargés.
•  

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LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS ? IMOTHEP

• Les ouvriers soulèvent le petit côté du
  bloc avec des leviers puis ils placent des bâtons
  qui senfoncent dun côté dans des trous du
  plancher et de lautre dans des petites cavités
  creusées dans la pierre. Ensuite, lorsque les
  ouvriers retirent les leviers, la pierre
  sabaisse alors un peu et les bâtons se
  retrouvent coincés entre celle-ci et le plancher.
  
•  

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LE GÉNIE DES CONSTRUCTIONS ? IMOTHEP

• Les traîneaux sont retirés du plancher.
  La pierre retombe alors sur deux rondins, bascule
  éventuellement sur le sol dun côté et repousse
  le plancher plus loin. 
• Les ouvriers soulèvent de nouveau le
  bloc avec des leviers mais sous son grand côté
  cette fois-ci. Ils le coincent dans cette
  position avec des bâtons et retirent les deux
  autres rondins.
•  

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LEFFET DE PYRAMIDE

• Le Français Antoine Bovis a trouvé dans la
  chambre mortuaire de la Grande Pyramide des
  petits animaux, comme les souris, qui nétaient
  pas putréfiés, même si lhumidité, lobscurité et
  la température de 20 degrés C conféraient un lieu
  idéal pour la putréfaction. Le radiesthésiste
  Antoine Bovis a construit une pyramide en
  miniature, un modèle exacte de la Pyramide de
  Kheops. Il a mis une côte de la pyramide sur
  laxe nord-sud et il a mis à lintérieur, à une
  hauteur de 1/3 de la base un chat mort.
  Lexpriment a été un succès parce que le chat ne
  présentait aucune trace de décomposition, ne
  répandait aucun odeur et il était intact comme
  sil avait été momifié.

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LE SYMBOLISME RELIGIEUX

• Les anciens dieux ont transmis aux prêtres
  égyptiens leurs connaissances et leurs
  conceptions sur lautre monde. Les prêtres les
  ont reçus et les ont gardés pendant les rituels.
  Ils ont utilisé des processus médicaux
  scientifiques qui portent sur la partie
  immatérielle de lhomme et qui montrent que la
  vie ne finit pas avec la mort.

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LE SYMBOLISME RELIGIEUX

• Il est possible que les anciens dieux aient
  accompli ces processus dans la Pyramide de
  Kheops. Cest pour ça que les Egyptiens ont bâti
  un monument gigantesque. Pour le roi, la pyramide
  était le lieu de lascension et de la
  transfiguration. La Pyramide de Kheops a été
  surnommée Achet, lhorizon de Kheops, Akh
  signifiant le lieu éclatant de la transposition.

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LE SYMBOLISME RELIGIEUX

• Dès le temps d Homère, le Nil était associé à
  la rivière céleste(La Voie Lactée). Les
  chroniqueurs disaient que La Voie Lactée était
  le Nil où les dieux sont nés ou locéan doù
  la race des dieux est née. La corrélation entre
  le Nil et la Voie Lactée a fait croire les
  Egyptiens quil y avait un Egypte cosmique où
  leurs âmes pouvaient arriver après lexistence
  terrestre.

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LE SYMBOLISME RELIGIEUX

• Si on fait une comparaison entre la carte
  de Memphis et la constellation dOrion, on peut
  constater que les trois étoiles de la Ceinture
  dOrion ressemblent aux trois pyramides de Gizeh
  Khufu, Khephren et Mykérinos. Chaque pyramide est
  située au long de son propre axe nord-sud et on
  peut observer une diagonale sur la direction
  sud-ouest aux premières deux pyramides.
• La troisième,Mykérinos, est plus petite que les
  autres et elle est un peu déviée de la diagonale
  sud -ouest qui relie les deux pyramides plus
  grandes.

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LE SYMBOLISME RELIGIEUX

• La Pyramide de Kheops possède des
  caractéristiques architectoniques uniques. Les
  plus évidents sont les couloirs du nord et du sud
  de la Chambre du Roi. Ils sont situés sur des
  façades opposées à 31 degrés, celui du nord, et à
  44,5 degrés, celle du sud. Les trois étoiles de
  la Ceinture dOrion Delta, Eta et Zeta Orionis
  passaient une seule fois par jour devant le
  couloir du sud, pendant la construction de la
  pyramide. Ainsi, les considérations sur la
  religion égyptienne et lastronomie moderne
  saccordent pour indiquer le fait que les
  couloirs surnommés les couloirs daération de
  la Pyramide de Kheops étaient, en fait, destinées
  au voyage de lâme du roi décédé vers les étoiles
  de la constellation divine Sah.

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LE CULTE DU PHARAON MORT

• Dans Le Livre des Morts on présente le voyage
  fait par le mort et les essais pour arriver à la
  purification et à la renaissance. La galerie qui
  descend vers la chambre souterraine symbolise le
  chemin vers le lieu du terreur. Le mort est aidé
  par un protecteur divin. Ainsi, il arrive au bout
  du couloir ascendant, fermé par un bloc de
  granit. Seulement à laide dune entité
  supérieure le mort peut traverser ce point.
  Puis,il arrive dans les deux salles de la
  vérité, dans lobscurité et dans la lumière,
  symbolisées par le couloir ascendant et par la
  grande galerie. Entre les deux salles a lieu la
  naissance de lâme, dans la chambre dIssis.

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LE CULTE DU PHARAON MORT

• Issis symbolise la maternité et son image se
  trouve dans la chambre mortuaire de la reine.
  Quand lâme et le corps se réunissent, le mort
  parcourt lespace par dessus de la galerie
  jusquà la chambre royale. Il arrive,
  finalement,dans la salle dOssiris, la chambre
  royale,où il est jugé par le juge des morts. Si
  on le trouvait bon, il était glorifié par la
  grande lumière.

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LA PYRAMIDE EST UNE FRONTIÈRE

• Depuis l'antiquité grecque, l'humanité
  n'a cessé de se poser des questions sur cette
  unique survivante des sept merveilles du monde.
  Ce monument posséderait-il des pouvoirs
  surnaturels, au-delà de la science? Si les
  archéologues s'intéressent à cet édifice d'un
  strict point de vue historique, les autres
  chercheurs peuvent généralement se classer en
  trois écoles de pensées. La première, et la plus
  répandue, affirme que la pyramide de Kheops
  représente un système universel de mesures et que
  ses dimensions mêmes immortalisent des archétypes
  d'unités de longueur, voire du temps. La deuxième
  école considère la pyramide essentiellement comme
  un gigantesque cadran solaire et comme un
  observatoire astronomique.
• Enfin, la troisième école, plus aventureuse,
  spécule que la forme pyramidale pourrait
  mystérieusement contribuer à la croissance des
  plantes, prolonger la conservation des aliments
  et même affûter les lames de rasoir usées.

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LA PYRAMIDE EST UNE FRONTIÈRE

• Enigmatique et majestueuse, la pyramide de
  Kheops surgit du plateau de Guizèh, à une
  quinzaine de kilomètres du Caire. Les chiffres ne
  peuvent donner qu'une faible idée de sa taille
  gigantesque 5 ha de surface à la base, 2,3
  millions de blocs de calcaire, en moyenne de 2,5
  tonnes chacun. La Grande pyramide et les autres
  qui se dressent à proximité sur le plateau furent
  construites au cours de la période égyptienne
  dite de la IVe Dynastie, entre 2613 et 2494 avant
  notre ère. Le premier à avoir étudié la pyramide
  fut l'historien grec Hérodote.
• Il se rendit à Guizèh, au V-e siècle avant
  notre ère, la pyramide avait alors déjà deux
  mille ans, et il décrivit la construction d'après
  ses entretiens, sur place, avec des égyptiens. Il
  ne put pénétrer à l'intérieur (l'entrée était
  cachée).

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LA PYRAMIDE EST UNE FRONTIÈRE

• Ce n'est qu'en l'an 820 qu'un Arabe, Al-
  Mamum, trouva l'entrée de la pyramide. Après
  avoir pénétré la pyramide, lui et son équipe
  furent arrêté par des blocs de granite. Ils
  percèrent les blocs voisins de calcaire plus
  tendre. Ils se trouvèrent dans un couloir montant
  et fort bas, que coupait, en haut, un passage
  horizontal. Après avoir visité la pyramide, ils
  ne trouvèrent qu'un sarcophage vide dans la
  chambre du Roi. Ou bien ce sarcophage vide était
  tout ce que cette chambre n'eût jamais contenu,
  ou bien des voleurs l'avaient pillée depuis
  longtemps.
• Mais, s'ils s'étaient introduits aussi avant
  dans la pyramide, comment avaient-ils fait pour
  franchir les blocs de granite? Pour conclure sur
  la pyramide, il serait intéressant de parler de
  la malédiction de Toutankhamon.

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LA PYRAMIDE EST UNE FRONTIÈRE

• En novembre 1922, après quinze ans de
  fouilles dans la Vallée des Rois, au sud du
  Caire, l'égyptologue Howard Carter, accompagné de
  son commanditaire George Edward Herbert, compte
  de Carnavon, descella l'entrée d'un tombeau
  souterrain et mit au jour un admirable ensemble
  de vases, de chars, de trônes et de bijoux le
  trésor funéraire du pharaon Toutankhamon. Mais le
  triomphe des fouilleurs n'alla pas sans
  difficultés. Des hiéroglyphes, disait-on,
  menaçait de vengeance les profanateurs. Un cobra,
  symbole égyptien de royauté, dévora le canari de
  Carter. Les fouilles se poursuivirent néanmoins
  toute l'année suivante, jusqu'à ce qu'on
  découvrit la chambre renfermant le sarcophage
  même de Toutankhamon.
• Mais lord Carnavon n'était plus là pour le
  voir il avait succombé, quelques mois plus tôt,
  à un empoisonnement du sang. Certains ne
  manquèrent pas d'affirmer qu'il avait été, en
  fait, victime de la malédiction du pharaon.

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• Notre équipe a réussi à faire le projet, même
  si elle a eu des difficultés. La sélection des
  documents, la réalisation du plan, la
  problématique- tout cela na pas été facile à
  faire. Mais chaque membre de léquipe sest
  occupé dune partie du projet et, finalement,
  nous avons réuni les parties pour réaliser le
  produit final.