Title: PALEONTOLOGIE
1PALEONTOLOGIE
- Pr A. RANDRIANASOLO
- Année 2003-2004
2PALEONTOLOGIE
- Introduction
- Palaios ancien
- ontos être
- logos étude
- Paléontologie mot créé en 1825
- Xénophane (-6e s av J.C.) reconnaît des coquilles
marines et imagine un ancien recouvrement par la
mer - Agricola (1546) crée le mot fossile
3Fossiles
- Fossiles
- Définition
- Taphonomie (Efremov 1940) ensemble des études
sur les processus de fossilisation - Modalités de la mort - transport - Enfouissement
- Transformation physico-chimique post mortem
- Extension de la notion aux produits de lactivité
dun organisme vivant (Palichnologie)
4Fossilisation
- Fossilisation des parties molles (M.O.)
- Congélation
- Momification
- Inclusion
- Traces et empreintes
- Minéralisation et pseudomorphose
5Empreintes de feuilles
6Trace de pas deDinosaures
7Fossilisation (2)
- Fossilisation de la partie dure
- Conservation morphologique telle quelle
Coquille, test, ossement, dent, frustules, exine
pollinique... - Moules internes
- Moules externes
- Cristallisation secondaire
8Fossilisation (3)
- Traces dactivités
- Terriers, pistes, coprolithes, ufs...
- Autres
- Fossiles chimiques
- Richesse en 12C (rapport 12C/13C) activité
org. - Acides aminés ou autres CHON (ex. activité
chlorophyllienne au Précambrien)
9Processus de fossilisation
- Conditions nécessaires à la fossilisation
- Inhérentes au fossile M.O. squelette...
- Milieu anoxique favorable à
- un retard de la décomposition de la M.O.
- la pyritisation
- une phosphatisation précoce
- Lysocline et C.C.D.
- Dissolution et corrosion des squelettes CaCO3
10Processus 2
- Évolution post-mortem
- Altération / érosion
- Transport (déplacement par divers agents)
- Sédimentation
- Soustraction aux agents de destruction
- Accumulation (facteur favorable)
11Agents de destruction
- Agents physiques (courants, vagues, vent)
- Agents chimiques ( -----gt dissolution)
- Agents biologiques (mangeurs de cadavres,
fermentation bactérienne)
12Transport
- Rôle destructeur
- Dispersion
- Démantèlement
- Accumulation (favorable lumachelles)
- Changement de milieu
13Sédimentation
- Remplissage sédimentaire
- Moule interne
- Coquille plus résistante
- Critère de polarité
- Granulométrie des sédiments
- Sédiments grossiers mauvaise conservation
- Sédiments fins bonne conservation
- Bonnes empreintes
- moindre oxydation
14Évolution post-sédimentaire
- Epigénie ou pseudomorphose
- Calcite stable aragonite moins stable f(t)
- Silice (Végétaux, autres coquilles, Echino...)
- Pyrite FeS2, (ex. Ammonites dans marnes)
- Dissolution - recristallisation
- Action biotique
- défavorable microperforation (dissolution)
- favorable (remplissage secondaire)
- Déformation (pression...) dubiofossile
15Etude analytique de la taphonomie
- Géométrie de la fossilisation
- abondance des fossiles dans un gisement
- quantification
- Orientation des fossiles
- position allochtone ou autochtone
- Granulométrie des restes
- Position par rapport aux figures de sédimentations
16Etude analytique
- Géométrie (suite)
- Les déformations
- détériorations
- destructions partielles
17Etude synthétique de la taphonomie
- Mécanisme de fossilisation et de formation de
gisements
18Chimie de la fossilisation
19Microfossiles
- Microbiotes fossilisation plus facile car plus
nombreux - M.O. fossilisées si conditions anoxiques
(Kérogène) - Squelette minéral pas dusure car frottement e
- SiO2 plus résistant que Ca CO3
- Aragonite plus fragile que Calcite
- Présence de Mg (moins favorable)
- Biocenose, thanatocenose, Symmigie
20Microfossile (2)
- Les microbiotes et lithogenèse
- Stromatolites activités dalgues encroûtantes
- Foraminifères, coccolithes etc.... sont nombreux
dans les roches carbonatées comme bioclastes - Les Bactéries jouent également un rôle important
dans la diagenèse.
21Paléontologie
- Paléontologie et Taxinomie
- Paléontologie et Évolution
- Paléontologie et Paléoenvironnement
- Paléontologie et Stratigraphie
22Notion despèce en Paléontologie
- Définition de lespèce biologique
- Apports du facteur temps
- Variabilité de lespèce dans lespace et au cours
du temps - Polymorphisme et polytypisme
arandria Une espèce est une population ou un
groupe de population dont les membres, dans la
nature, peuvent engendrer une progéniture féconde
les uns avec les autres et non avec les membres
d autres espèces - Critère non applicable à
des organismes à reproduction exclusivement
asexuée.
23Notation de l espèce en Paléontologie
- Nomenclature linéenne (binôminale avec genre et
espèce) - désignation complète avec 3 termes
- Genre porte une majuscule
- Espèce en minuscule
- Auteur (celui qui, le premier, a décrit et
figuré l espèce de façon correcte)
24Les caractères et leur variabilité
- Caractères quantitatifs
- Grandeurs discontinues (nb de côtes,
présence-absence) - Grandeurs continues (L, l, h, angles...)
- Caractères qualitatifs
- Morphologie (contour du test, ornementation...)
- Variabilité individuelle, écologique,
accidentelle, dimorphisme sexuel... - Analyse factorielle et biométrie.
25Les Théories de l évolution
- Lamarckisme (1809) basé sur l adaptation
- Darwinisme (1859) basé sur la sélection
naturelle - Théorie synthétique de l évolution (1940-1950)
Simpson, Mayr, Dobzhansky utilisation des
données de la génétique en intégrant la mutation
(faute de copie). Transformations canalisées par
les structures préexistantes.
26Lamarckisme 1809
- Les circonstances (milieu extérieur) et les
habitudes (comportements) entraînent avec le
temps (facteur important) des modifications
morphologiques adaptatives et transmisesaux
générations suivantes. - L adaptation est fondamentale
27Darwinisme (1859)
- Mécanique évolutive basée sur le rôle de la
sélection naturelle - cependant Darwin écrit encore que l usage ou
le non usage des parties a une influence plus
considérable encore
28Théorie synthétique
- Basée sur un certain nombre de principes
- Utilitarisme tri au sein de la variabilité
héréditaire spontanée ce qui est favorable à
l organisme - Adaptationnisme ce tri adapte en permanence
l organisme à son environnement - déterminisme sélectif changement évolutif
contrôlé par la sélection naturelle,
l adaptation est le moteur de l évolution - gradualisme le changement évolutif se fait
progressivement par répétition-addition de
minimes modifications.
29Spéciation et paléontologie
- Nécessité disolement (spatial ou temporel)
- Influence de lespace gt temps
- Spéciation allopatrique
- Ex. boucle circumpolaire des Goëlands (Larus).
- Spéciation péripatrique
- Ex. modèle du fondateur (Carson 1982)
- Influence du temps
- Spéciation sympatrique
- évolution sur place. Ex. polyploïdie fréquente
chez les végétaux, observée chez Poissons et
Amphibiens
30Modalités
- Anagenèse (Huxley 1958)
- Pérennité de la vie la somme des anagenèses
exprimerait la continuité fondamentale de la vie
(A. de Ricqlès) - Cladogenèse
- Elle est source de nouveauté significative
l extraordinaire diversité du monde vivant
viendrait de la somme des cladogenèses.
31Modèles paléontologiques de l évolution
- Rythmes
- Gradualisme phylétique
- Gradualisme ponctué (Simpson)
- Équilibres ponctués (Eldredge et Gould 1972)
- Ontogenèse
- Récapitulation de caractères ancestraux?
- Création de la phylogenèse?
- Hétérochronies et innovations
32Gradualisme ponctué
- Transformations rapides
- phases rapides de spéciation
- suivies de faible dérive morphologique
33Equilibres ponctués
- Modifications morphologiques affectant des
populations isolées de petite taille - Spéciation rapide sur un petit territoire
- Une fois l espèce créée peu de changements
morphologiques période d équilibre
morphologique ( stase)
34La coevolution
- Un organisme appartient à un écosystème, d où
interactions spécifiques sont soumises au
changement évolutif. - Coévolution adaptation évolutive entre 2 ou
espèces en fonction de leur influences
réciproques (symbiose, proie-prédateur,
parasitisme
35Ex. de coévolution
- Introduction du virus de la myxomatose en
Australie pour limiter la prolifération des
lapins introduits en 1859. - Elimination de 99,8 des lapins la 1ère année
- 90 la 2e année
- moins de 30 sept ans plus tard.
- La sélection a favorisé les lapins plus aptes à
résister (génotype) - La sélection a favorisé les souches de virus les
moins virulentes - Maintenant la relation hôte-parasite est
stabilisée
36Modèle de la Reine Rouge
- Leigh Van Valen, 1973 mécanisme explicatif de
la course à la complexité. Après analyses de la
courbe de survie de plus de 24.000 taxons
(familles et genres de groupes taxinomiques
divers), les courbes sont linéaires une fois
représentées à l échelle semi-logarithmique.
arandriaDans Alice aux pays des Merveilles, la
Reine Rouge et tous ses sujets courent sans
arrêt. Pourquoi? Ici, tu vois, il faut courir
de toutes tes forces pour rester à la même
place
37Signification
arandria
- Dans un milieu naturel, tout perfectionnement
évolutif d une espèce lui permettra, au moins
temporairement, de prélever une part accrue des
ressources du milieu et d accroître ses
effectifs. D où diminution des ressources des
espèces concurrentes qui va conduire à leur
extinction.
arandria L évolution ne constitue donc pas un
progrès mais une escalade, une course aux
armements, une débauche d inventions dans des
systèmes coévolutifs.(in Brahic et al., p. 538-9)
38Spéciation (rôle de l ontogenèse)
- Paedomorphose
- Néoténie Ralentissement du taux de développement
- Progenèse Acquis précoce de la maturité
sexuelle - Postdéveloppement apparition tardive de cert.
k - Péramorphose
- Accélération
- hypermorphose
- Prédéplacement
- Innovations précoces Protérogenèse
- Innovations tardives Palingenèse
39Exemple d évolution
- Evolution des Equidés depuis l Eocène (60Ma) à
l Actuel
40 41Equidés
- Augmentation de la taille
- évolution de l encéphale
42Equidés
- Evolution également de la dentition
- Mangeurs de branchages au début (molaire basse à
nbx tubercules (brachyodonte) - Mangeurs d herbes à partir de Merychyppus
(molaires hautes à croissance continue et à table
d usure) - L environnement a changé entre temps (steppe à
graminées)
43Equidés
- Evolution du pied
- Réduction du nombre de doigts
- 4 antérieurs 3 post. chez Eohippus
- Monodactylie à partir de Pliohippus
44Évolution de l Homme
- Stature de l homme et du singe
- Le bassin très développé et très allongé chez le
singe l empêche de se redresser - Il est plus large et plus court chez l Homme
- La colonne vertébrale est plus recourbée
(amortissement des chocs résultant de la bipédie)
45Le trou occipital
- Chez l Homme, le trou occipital est dans un plan
horizontal car la moelle se détache
perpendiculairement au cerveau et que la tête est
posée en équilibre au sommet de la colonne
vertébrale.
46Développement du cerveau
- Cette migration du trou occipital vers
l avant (le bas) au cours de l hominisation va
permettre le développement du volume cranien et
du cerveau, le raccourcissement de la face
47L évolution du crâne
- Le moulage endocrâniens montre les
circumvolutions cérébrales. - On peut voir ainsi la présence ou l absence de
- l aire de Broca qui contrôle physiquement la
parole (les muscles des lèvres, des mâchoires, de
la langue, du voile du palais et des cordes
vocales). - l aire de Wernicke, reliée à l aire de Broca
qui est impliquée dans la perception du langage
48La bipédie
- La démarche de l Homme présente 3 phases
dynamiques. - La structure du pied l y aide
- Le gros orteil est // aux autres doigts (et non
opposable) optimisant la propulsion - Le pied des Pongidés est plus musclé mais plat
- Le genou peut être verrouillé dans sa position en
extension. Le Chimpanzé en est incapable d où
nécessité d un soutien musculaire important
49Libération des mains
- Lacquisition de la bipédie a comme conséquence
la libération de la main
50Utilisation en Stratigraphie
- Fossile stratigraphique
- Large répartition géographique
- Grande vitesse dévolution
- Fréquence importante
- Identification facile (reconnaissance)
51Utilisation en Paléoécologie
- Fossile de faciès
- Extension géographique limitée
- Polymorphisme éventuel en fonction des conditions
du milieu - Faible vitesse dévolution
- Les Paramètres du milieu
52Les paramètres
- Profondeur
- Température
- Salinité
- Organismes euryhalins (adaptation facile)
- O. sténohalyns (exigence étroite)
- Oxygénation
- Agitation des eaux
53Les reconstitutions
- Complémentarité des renseignements
- paléontologiques
- sédimentologiques
- géochimiques
54Exemple des Foraminifères
- Classification
- Les critères utilisés
- Foraminifères benthiques
- Foraminifères planctoniques
- Leur utilisation
- en stratigraphie
- en paléoécologie
- en paléogéographie...
55Les Foraminifères Systématique
- Embranchement Protista Haeckel 1862
- S-E Sarcodina unicellulaire à pseudopodes
- Cl. Reticularea (Lankester 1885) pseudopodes à
double courant protoplasmique par opposition aux
Rhizopodea dont la form des pseudopodes est due
à des variations de pression au sein du
protoplasme (Amibe) - Ordre Foraminiferida à coquille fossilisable
56Critères de classification simplifiée
- Une systématique idéale devrait se baser
- sur la phylogénie du groupe et
- sur l ontogenèse des espèces (2 caractères à
portée de la paléontologie pour un certain nombre
de groupes mais pas pour tous) mais également - sur des renseignements biologiques tirés des
animaux vivants
57Remarques
- En fait, vu l importance prise par les
foraminifères dans le domaine de la géologie
pétrolière, la systématique est largement
analytique et basée presque exclusivement sur le
test. Les données sur le vivant manquaient. - Les critères sont classés par ordre d importance
58Les critères (niv. Sous-ordre et super-famille)
- Composition chimique du test
- Agencement des cristaux
- Ce sont des productions protoplasmiques et
devraient se rapprocher le plus des critères
biologiques. - Mode de vie planctonique (critère écologique)
59Les sous-ordres
- Allogromiina (pseudochitineux)
- Textulariina (arénacé ou agglutiné)
- Fusulinina (Calcite microgranulaire)
- Miliolina porcelané (calcite imperforé)
- Rotaliina (calcite radiaire, perforé benthique)
- Globigerinina (idem planctonique)
- Robertinina (aragonitique)
60Critères familiaux
- Plan de développement (mode d enroulement)
- uniserié, bisérié, multisérié
- enroulé (le long d un axe, autour d un axe,
trochospiral, planspiral) - Acquisition des septa (form de logettes)
- Caractères de l ouverture (position, forme,
présence d accessoire) - Ces trois critères peuvent se retrouver dans des
lignées différentes
61Critères génériques/spécifiques
- Caractères du test
- Surface du test (rugosités)
- Carènes
- Sutures
- Ornementation
- Morphologie (allongement, aplatissement des
loges, dessins des lignes de sutures...)
62Exemple de certains foraminifères planctoniques
crétacés
- Heterohelicacea
- Planomalinacea
- Rotaliporacea
- Rotaliporidae, Hedbergellidae, Helvetoglobotruncan
idae, Rugoglobigerinidae,Schackoinidae - Globotruncanacea
- Globotruncanidae, Marginotruncanidae
63Importance en stratigraphie
- Evolution au cours des temps géologiques
- Fusulinina apparition à la limite
Silurien/Dévonien, extinction Trias - Fusulinidae (extinction à la limite I/II)
- Porcelanés apparition au Carb., expansion au
Jur./Crét. - Actuel. - Rotaliina appar fin Permien, gd dév. Jur.
- Planctoniques appar au Jurassique inf.
64Biostratigraphie(Exemple du Crétacé)
- Voir Tableau
- T.R.Z. zone dextension totale
- Ex.1 Rotalipora cushmani TRZ (Cénomanien moy.)
- Ex.2 Globotruncanita calcarata TRZ (Camp. Sup)
- Z.I. zone dextension intervallaire
- Limite inf. (apparition ou disparition)
- Limite sup. (apparition ou disparition)
- Cas particulier Zones phylétiques
65Paléoécologie
- Bathymétrie (ex. Foram. plancto. actuel)
- faible profondeur la plupart des espèces
épineuses, tous les Globigerinoides, majorité des
Globigerina - 50-100m G. bulloides, H. pelagica, O. universa,
Glla aequilateralis, G. calida . (Formes à
épines) - non épineuses Pulleniatina obliquiloculata,
Neogloboquadrina dutertrei, Candeina nitida,
Globigerinita glutinata - Profond Globorotalia, Neogloboquadrina
pachyderma, Sphaeroidinella dehiscens.
66Paléoécologie (2)Planctoniques
- Latitude La distribution des foraminifères
plancto. varie f(latitude). La différence se
situe au niveau de - la diversité max. diversité dans les régions
tropicales (sup. à 25 espèces). - Espèces représentées. Gs ruber, Glla
aequilateralis - fréquence des taxa
- morphologie enroulement dextre/senestre (froid),
épaisseur coquille, ouverture, carène
67Paléoécologie (3)Benthiques
- La distribution des tests de foram. benthiques
depuis la plate-forme continentale jusqu à la
plaine abyssale fournit des renseignements
intéressants sur le paléoenvironnement. - Info. sur la paléobathymétrie, sur les variations
eustatiques, sur la présence ou non d un
herbier, l hydrodynamisme, la température, la
salinité...
68Exemples zone tempérée
- Zone intertidale Discorbis Cibicides
(épiphytes) Elphidium et Ammonia beccarii - Infralittoral (40m) Elphidium et Ammonia
beccarii Quinqueloculina Poroeponides (
Amphistegina, Peneroplis Archaias) - Circalittoral sup. (120m) Agglutinés simples
(Textularia, Trochammina, Reophax), Miliolidae
(Quinqueloculina, Triloculina, Spiroloculina),
Buliminella, Buccella
69Ex. Foram. benthiques (suite)
- Circalittoral inf. (200m) La diversité augmente
encore - Rotaliina gtgt Porcelanés
- Lagenidae, Bulimina, Uvigerina (sériés)
- Disparition de Ammonia
- Cassidulina (Commun), Nonionella, Pullenia
- Agglutinés à structure interne complexe
70Foram. Benthiques (suite 2)
- Bathyal (talus continental)
- Bolivina Uvigerina Casssidulina communs
- Gyroidina, Bulimina, Pullenia. Nodosaria
diversifié - Porcelané Pyrgogtgtautres
- Bathyal inf. (1000-3000m) Oridorsalis,
Gyroidina, Melonis, Globocassidulina, Pyrgo,
Eggerella - Abyssal si au-delà de CCD, présence uniquement
dagglutinés.
71Grands Foraminifères
- Environnement para récifal
- Fusulina au Permien
- Orbitolina au Crétacé inf.
- Orbitoides (au Crétacé-Tertiaire)
- Nummulites (Abondants au Paléogène)
- Alveolinidae (Crétacé-Cénozoïque-Actuel)