Title: Diapositive 1
1UQÀM
ESCER
Évaluation des processus radiatifs et des nuages
par le modèle GEM-LAM pour lannée SHEBA en
Arctique
Étudiant Dragan Simjanovski Directeurs de
recherche Éric Girard et Colin Jones
2Les objectifs et métrologie
Dû aux conditions uniques en Arctique (des
températures et les rapports de mélange de vapeur
deau extrêmement bas, réflectivité élevée des
surfaces de la glace de mer et de la neige,
inversion de température dans la basse
troposphère et absence de la radiation solaire
pendant les périodes prolongées), les processus
macro et microphysiques contrôlant la formation
des nuages sont complexes et uniques. La
validation de ces paramètres atmosphériques
simulés par les différents modèles présentement
utilisés par les plus grands centres de recherche
au monde avec les observations est indispensable
pour mieux connaître et, par conséquent, mieux
paramétriser ces processus complexes. La
radiation solaire et terrestre vers le bas à la
surface, lalbédo de surface, la vapeur deau
dans la verticale, les contenus en eau liquide et
la couverture nuageuse simulée par GEM-LAM sont
évalués avec les données dobservation SHEBA et
comparés aux résultats des modèles participants à
lexpérience dintercomparaison de modèles
climatiques régionaux ARCMIP.
Domaine de lIntégration de GEM-LAM (gauche) et
le domaine ARCMIP avec la trajectoire du
brise-glace (droite)
SHEBA Surface Heat Budget of the Arctic
ocean ARCMIP Arctic Regional Climate Model
Intercomparison Project
3Les résultats moyennes mensuelles et moyennes
quotidiennes
Les figures de gauche montrent les moyennes
mensuelles de de la radiation solaire (SWD) et
terrestre (LWD) vers le bas à la surface, leau
precipitable, lalbédo de surface et la
couverture nuageuse (TOT_CLD)
Les figures de droit montrent les moyennes
quotidiennes de SWD, LWD, LWP et couverture
nuageuse de deux versions de modèle GEM LAM
(v3.3.0 et v3.2.2)
4Conclusions
- Sur une base mensuelle, GEM-LAM performe
remarquablement bien pour le flux de rayonnement
solaire vers le bas à la surface et pour
l'humidité spécifique - Il a cependant un grand biais positif pour la
couverture de nuage pendant l'hiver - Sur une base quotidienne, la difficulté de
simuler la couverture de nuage affecte fortement
la simulation de flux radiatif à la surface avec
un RMSE relativement haut, cependant, le biais
reste petit - La difficulté du modèle à représenter les nuages
hivernaux peut être liée aux difficultés
d'observations des nuages optiquement minces dans
l'Arctique durant l'hiver