Title: DETECTION DES RAYONNEMENTS IONISANTS
1DETECTION DES RAYONNEMENTS IONISANTS
2DETECTION ET MESURE DES RAYONNEMENTS.
- Introduction
- Détection directe impossible, donc nécessité dun
intermédiaire physique ou chimique pour détecter
et mesurer les Rayonnements (ionisation,
photo-chimie, scintillation). - Détecteurs permettent
- le comptage des photons détectés
- Détermination de lénergie photonique
- Milieux gazeux? débit photonique dn/dt
- Milieux condensés ? dn/dt et E
3DIFFERENTS TYPES DE METHODES
- IONISATION
- - dans milieu gazeux Compteur GM, la chambre
dionisation, le stylo dosimètre - dans milieu solide semi-conducteurs
- PHOTOCHIMIE
- Autoradiographie, Radiographie et dosifilms
- SCINTILLATIONS
- Gamma caméra, SPECT, TEP-TDM
4PRINCIPES GÉNÉRAUX DE DÉTECTION ET PRINCIPAUX
DÉTECTEURS
- Directe (e,e- , p) - Indirecte (X et ?)
Transfert dEnergie à un électron
EN GÉNÉRAL DÉTECTEUR ÉNERGIE CINETIQUE PERDUE
PAR LA PARTICULE EST TRANSFORMÉE EN ÉNERGIE
ÉLECTRIQUE.
5(No Transcript)
6(No Transcript)
7(No Transcript)
8TEMPS MORT DUN COMPTEUR
- Il faut un certain temps ? pour obtenir une
réponse temps mort ou temps minimum qui
sécoule entre la détection de 2 évènements - Les pertes de comptage liées au temps mort sont
dautant plus grandes que lactivité est grande - Elle est bien sûr liée au type de détecteur
utilisé
9(No Transcript)
10CARACTERISTIQUES GENERALES DES COMPTEURS
- GEOMETRIE DE COMPTAGE
- D(t) N(t)?/4p N(t).G avec G ?/4p
- G ne dépend que du détecteur et de sa position
par rapport à la source. - G ? r2/d2 .
11(No Transcript)
12EFFICACITE DUN COMPTEUR
- Probabilité pour quune particule soit détectée.
- Le nombre de particules détectées est
proportionnel au nombre de particules émises - Lefficacité e est la probabilité pour quune
particule soit détectée - C(t) e. D(t) N(t).e.G
- e rendement du détecteur
- Efficacité (e) dépend du couple détecteur
particule. Rendement du détecteur r n/N
(Chaque désintégration a la possibilité r dêtre
détectée. Si on renouvelle un grand nombre de
fois la mesure courbe de Gauss. Erreur 2?n. - Toujours inférieure à 1
13BRUIT DUN COMPTEUR
- Cest ce que lon détecte même en labsence de
source - Rayonnement ambiant (Cosmique,
radioactivité naturelle, contamination du
compteur) - - Artéfacts par agitation électronique
- Nécessité de soustraire ce bruit au comptage
- Un blindage améliore la valeur du bruit mais ne
lélimine pas
14ABSORPTION
- Une partie du rayonnement peut être absorbée
(utile en radiothérapie) mais en détection cela
induit une sous-estimation de lactivité de la
source - Parfois lE est trop faible et le compteur
absorbe toute lE pas de possibilité de mesure
(Source de RX trop peu énergétique) - Si la source est étendue il peut y avoir une auto
absorption (Importance de focaliser le
rayonnement).
15RAYONNEMENT DIFFUSE
- Phénomène aléatoire le rayonnement a aussi une
interaction aléatoire présence de rayonnement
non prévu (exemple le Compton dans un
scintillateur solide) - Le Compton entraîne une surestimation de
lactivité - Nécessité de blinder le compteur latéralement et
postérieurement - On pourra diminuer le comptage de ce rayonnement
diffusé en utilisant des filtres (Cu pour la
radio ou spectrométrie en scintigraphie). - Exemple filtrage en radiothérapie
16STATISTIQUES DE COMPTAGE
- Désintégration radioactive phénomène aléatoire
ou stochastique. Valeur fluctuante dans le temps
répondant à la loi du hasard. Elle suit la loi de
Poisson. - Nécessité de comptage long pour avoir des valeurs
interprétables - Lerreur statistique est 2?N donc
proportionnelle au nombre dévènements comptés et
non au temps de mesure - Pour une probabilité de 95, le nombre moyen M
dévènements comptés pour un comptage n répond à - n-2 ?Cltnltn2 ?C. Erreur statistique relative de
comptage est ESR 2/ ?C
17Principe de la spectrométrie gamma
18TRANSFERT DÉNERGIE À UN ATOME -
THERMOLUMINESCENCE
- Energie cédée à un atome ? équilibre rompu avec
éjection dun électron avec défaut lacune ou
centre coloré . Ex Irradiation de cristaux de
Fluorure de Ca ou de Li - Lacunes proportionnelles à lénergie du R.I.
- Après irradiation, on chauffe, il y a réparation
avec émission dune quantité de lumière
proportionnelle à lénergie transférée au cristal
pendant lirradiation. - Applications détecteurs luminescents utilisés
comme dosimètres. - Doses expositions 5.10-5 Gys à 200 Gys
(Utilisation en dosimétrie pour curiethérapie sur
les doigts)
19(No Transcript)
20DÉTECTEURS DUTILISATION COURANTE
- A- Détecteur utilisant les phénomènes
dionisation -
- 1- Détecteur à gaz
- Processus dionisation
Q n.e CV Tout se passe comme si un électron
était passé de B A
A
C
m
- - - B
- - -
21DÉTECTEURS UTILISANT LIONISATION DES GAZ
Gaz rare
Anode ()
C
R
Cathode (-)
THT
On ne détecte pas tous les évènements dans un
détecteur à gaz. Il existe différents types de
fonctionnement selon la tension THT.
22PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DUN DÉTECTEUR À GAZ