Diapositive 1 - PowerPoint PPT Presentation

1 / 80
About This Presentation
Title:

Diapositive 1

Description:

Dans le cadre g n ral des tudes en D fectologie, approche pist mologique du ... Structures anatomiques. Activit s et participation. Facteurs environnementaux. Facteurs ... – PowerPoint PPT presentation

Number of Views:325
Avg rating:3.0/5.0
Slides: 81
Provided by: FSC1147
Category:

less

Transcript and Presenter's Notes

Title: Diapositive 1


1
CERTIFICAT D'APTITUDE AU PROFESSORAT DE
L'ENSEIGNEMENT DES JEUNES SOURDS
(C.A.P.E.J.S.) Enseignement de PSYCHOLOGIE U.V.
1a Psychosociologie de la relation,
communication et surdité Enseignant  Serge
Portalier (Serge.Portalier_at_univ-lyon2.fr),
Professeur des Universités, Université Lumière
Lyon2, Equipe Perception, Cognition,
Handicap Laboratoire de Psychologie de la Santé
et du Développement (EA 3729)
2
I. Introduction  Dans le cadre général des
études en Défectologie, approche épistémologique
du concept de déficit au regard du concept de
normalité,référence à la Classification
Internationale du Handicap (CIH2) Etude
différentielle du déficit et du handicap
auditifs. Présentation des facteurs de
différenciation. II. Déficit auditif et
handicap de développement - Présentation des
modèles comportementalistes - Applications à
létude de la surdité - Analyse critique, autour
des pratiques de remédiation
3
III. Déficit auditif et handicap de
communication - Présentation des modèles
communicologiques - Applications à létude des
spécificités de la communication chez la personne
sourde - Analyse critique et autres
modélisations. IV. Déficit auditif et
développement cognitif - Présentation des
processus cognitifs et des hypothèses
fonctionnelles - Applications au concept de
Vicariance - Analyse critique autour des
pratiques dévaluation.
4
V. Déficit auditif et développement
psychique Présentation du modèle systémique
Application à létude des interactions inter et
intra individuelles Développement au niveau de la
prise en charge et de la remédiation. VI.
Conclusion Place de la recherche, de la
recherche-action et de lanalyse des pratiques
dans les établissements qui accueillent des
personnes déficientes auditives.
5
Psycho de la Santé - Regroupement Syndromique -
Clinique du Handicap
notion de norme
Déficit, Handicap Inadaptation Risques somatiques

6
La norme définition, conceptualisation
PLAN
- concept statistique
- La normalité sociale, la normalisation
- La normalité un idéal social, culturel, .
- La normalité absence de maladie, de déficit
- Normalité et environnement
  • Du normal au pathologique
  • un continum

7
Modèle DEFECTOLOGIE
  • La défectologie est une discipline qui traite des
    déficits, handicaps et inadaptation chez lHomme
    sur les plans sensoriel et moteur, cognitif,
    conatif et psychologique.
  • La défectologie permet
  • dapprofondir notre connaissance des processus
    sensoriels et cognitifs  normaux  (le déficit
    comme symptôme du valide),
  • de présenter, dexplorer et de valider
    loriginalité des systèmes adaptatifs,
  • de proposer des heuristiques vicariantes qui
    permettent de mieux comprendre les facultés
    adaptatives des personnes handicapées,
  • - de mettre en place des programmes de recherche
    fondamentale et appliquée.

8
Classification internationale du
fonctionnement, du handicap et de la santé
(2002) Ancien titre CIH Classification
internationale des handicaps déficiences,
incapacités et désavantages Nouveau titre CIH-2
Classification internationale du fonctionnement,
du handicap et de la santé
9
CIH2CIF
PARTIES Fonctionnement et Handicap Facteurs
contextuels
COMPOSANTES Fonctions organiques et Structures
anatomiques Activités et participation Facteurs
environnementaux Facteurs personnels
10
Les facteurs de différenciations des déficits et
handicaps - degré de déficit
11
Les facteurs de différenciations des déficits et
handicaps Troubles associés
Déficience intellectuelle lègère
Fréquence des troubles associés en fonction de la
déficience intellectuelle (daprès batshaw et
Shapiro, 1998)
12
Thèse 3ème cycle S. Portalier 1981
13
II. Psychologie cognitive et modèles
comportementaux Approche historique, hypothèses
différentielles Modélisation, étude de la S/R
Psychologie Applications dans le champ du
handicap et analyse critique
14
II.1. Approche historique, hypothèses
différentielles introduction  de lobjet au
percept Les questionnements théoriques  Empirist
es Nativistes Elémentaristes
Globalistes Fonctionnalistes
Formalistes
15
théorie transactionniste (Ames et Ittelson
1964) La perception serait perçue comme une
transaction, une inter relation déchange entre
lorganisme et lenvironnement Sujet environ.
événement Effet de proxémique.
16
théorie sensori-motrice (Werner, 1968) La
perception concerne non pas un sens mais
lorganisme entier. Elle est essentiellement
sensori-tonique état Organismique Cf la
proprioception, létat orthogénétique
17
théorie de létat central directeur (Allport
1960) Le sujet perçoit en fonction de ses
besoins, de ses motivations. Valeur de la
récompense, de la punition La personnalité dun
individu le prédispose à percevoir le monde dune
manière conforme à ses caractéristiques
personnelles. Dépendance/Indépendance/ à légard
du champ D.I.C.
18
théorie psychophysique (J.J. Gibson,
1955) Théorie des affordances Laffordance
dun objet est la combinaison spécifique des
propriétés de sa substance et de ses surfaces en
fonction du sujet percevant. Percevoir, cest
prendre contact avec un environnement
résonance, syntonisation Un système
autosyntonisateur
19
II.2 Perception Action  le modèle
behavioriste étude de la S/R Psychologie Stimul
us organisme Réponse
20
II.3. Applications - seuils absolus,
différentiels, liminaires - Etude des
interactions sensorielles
21
La fonction auditive
  • Paramètres objectifs
  • Acuité (fréquence et intensité)
  • Champ auditif
  • Stéréo acuité

22
  • Autres Sens
  • thermo acuité
  • sens de lorientation, image mentale
  • . le bon sens !!!

23
  • Applications (2)
  • conditionnement, conditionnement opérant
  • névroses expérimentales
  • thérapies cognitivo-comportementales
  • Doman Delacato méthode ???

24
  • CONCLUSION
  • éducation, remédiation et stimulation
  • homéostasie harmonie et qualité de vie
  • sensation
    perception
  • action
  • en lien avec le psychisme et la cognition

25
Approches critiques
S -------------------------- R un modèle trop
linéaire
S1
R1
S2
Stimulus Réponse
R2
R3
S3
Stimulus Réponse 0 ???
26
- Education, rééducation,.. Approche ortho
normée - Instrumentation et remédiation - Les
méthodes de rééducation Ex la méthode Doman
Delacatto (notion de patterning)
27
CONCLUSION SAVOIRS SAVOIRS FAIRE
CognitionConation
28
RAPPEL DU PLAN III. Les modèles
communicologiques Références historiques et
épistémologiques Théorie de la communication et
de linformation Applications à létude de
linteraction et analyse critique III.
Lapproche systémique Références historiques et
conceptuelles Applications à létude du concept
de vicariance Analyse critique et développement
du modèle IV. Psychologie et Cognition Modélisati
on des systèmes cognitifs Approche
développementale des grandes fonctions de la
cognition Evolution des modèles, perspectives de
recherche
29
III. Les modèles communicologiques Références
historiques et épistémologiques
  • Précurseurs des modèles communicologiques
  • léthologie
  • la psychométrie
  • la psycholinguistique (Chomsky)
  • la Psychanalyse
  • communicologie médias, médiation, ..

30
Le modèle prototypique de Shannon (1948) et de
Weaver (1960)
Il y a communication chaque fois quun système
(source) influence un autre système
(destinataire) par lémission de signaux choisis
dans un répertoire fini appelé code,
transmissibles par un canal qui les relie.
31
Théorie de lInformation et de la Communication
bruit
Retro- action
R
E
De
Canal message
Re
So
Em
Retro- action
Feed-back
32
APPLICATION 1 Etude sur le regard dans la
communication
  • Approche différentielle des regards
  • Regards et différence des sexes

33
- Regards et traits de personnalité
- Les sujets extravertis regardent plus leurs
partenaires dinteraction que les sujets
introvertis - Regards et locus of control
chez externe - Traits de personnalité
dominants maintien des regards
réciproques
34
Regards et origines socio-culturelles
Lutilisation des regards obéit à des
règles socio-culturelles au même titre que
dautres conduites langagières.
35
(No Transcript)
36
() Les émotions darrière-plan  Ce sont des
interactions sans cesse mouvantes qui font notre
 état dêtre . Energie, enthousiasme, malaise,
excitation,énervement . () Les émotions
primaires la peur, la colère, la joie, le
dégoût, la surprise, la tristesse et le
bonheur. () Les émotions sociales la
sympathie, lembarras, la gratitude,
ladmiration, lindignation et le mépris ()
Damadio R. Antonio (2003). Spinoza avait raison.
Joie et Tristesse. Le cerveau des émotions. Ed.
Odile Jacob Sciences, pages 48, 49 et 50
37
de lattention conjointe à la théorie de
lesprit Modèle de Simon Baron-Cohen (1985)
  • Shared Attention Mechanism (SAM) relations
    entre agent sujet
  • objet

Eye Direction - détection Detector (EDD) -
évaluation du regard
- inférence
  • Intentionality Detector (ID) état volitionnel de
    lenfant
  • ToMM Theory of Mind Mechanism
  • Théorie de lesprit

38
Théorie de lesprit et représentation de soi chez
lenfant
Réf. Wellman, H. M.(1990). The childs theory
of mind. Cambridge, MIT Press
Les recherches en Théorie de lesprit étudient
les connaissances et les représentations dont
lenfant dispose, à différents moments de son
développement, à légard de son propre
fonctionnement cognitif mais, plus largement, à
légard du fonctionnement psychologique général
des êtres humains.
39
Questions ?
  • dans quelle mesure lenfant, avec un déficit
    sensoriel
  • important, attribue-t-il des états mentaux
  • différents de ses propres états, aux personnes
  • de son entourage?
  • comment fait-il appel à ces entités mentales pour
  • prédire les conduites humaines ?
  • comment il acquiert, organise et coordonne ces
  • représentations ?
  • en quoi ces processus mentaux sont significatifs
  • de sa représentation de soi ?

40
  • Des recherches auprès denfants sourds (4 à 7
    ans) montrent
  • des retards significatifs dans laccès à la TdE.
    Ces retards dépendent
  • de lacquisition ou non dune communication
    signée efficiente (LSF)
  • Dans ce cas, Courtin et Col . (1998) montrent
    que les signeurs précoces
  • nont pas de retard, au contraire des non
    signeurs.
  • les sourds  natifs  (élevés par un ou deux
    parents sourds signeurs)
  • nont pas de retard en TdE, au contraire des
    sourds  signeurs tardifs 
  • (apprentissage de la langue des signes hors du
    cercle familial)
  • Siegal et Col. (2003)
  • on retrouve ces mêmes retards dans des tâches de
    reconnaissance de
  • visages et détats émotionnels (Portalier et Col.
    à paraître).

41
Comment expliquer ce retard chez lenfant
déficient auditif ?
  • Les résultats dépendent du contexte expérimental
    (lutilisation de
  • phylactères représentant des pensées améliorent
    la qualité des
  • réponses de la TdE Custer, 1996)
  • Limportance du bain de langage dans une phase
    critique du
  • développement
  • Plasticité et vicariance permettent la mise en
    place de réseaux
  • relationnels qui activent les états mentaux
    croyances, émotions,
  • intentions, imitations.

42
Handicap et communication
Approche fonctionnelle
bruit
Retro- action
R
E
De
Canal message
Re
So
Em
Retro- action
Feed-back
Etude des fonctions phatique, conative, dappel
. et des éléments de proxémique
43
FONCTION EXPRESSIVE
Centrée sur lEMETTEUR, Fonction vitale de la
communication
bruit
R
E
Canal message
Feed-back
44
FONCTION REFERENTIELLE
Centrée sur le référent, elle assure les
fonctions de représentation, de substitution et
de signification
SIGNIFIé la signification la
représentation SIGNIFIANT REFERENT
la substitution
45
FONCTION CONATIVE
Centrée sur le RECEPTEUR, elle assure la mise en
attention du système récepteur
bruit
R
E
Canal message
Feed-back
46
FONCTION PHATIQUE
Centrée sur le canal, elle vérifie et contrôle
la disponibilité des canaux de communication
bruit
R
E
Canal message
Feed-back
47
FONCTION POETIQUE
Centrée sur les aspects esthétiques et
connotatifs du message
bruit
R
E
Canal message
Feed-back
48
FONCTION METACOMMUNICATIVE
Centrée sur le code dans lactivité consciente
(volution) du désir de communication avec lautre
bruit
R
E
Canal message
Feed-back
49
Approche critiqueModèle d OSGOOD
Output
Input
Récepteur
Emetteur
Traitement de l information
mémoires
50
Osgood les réseaux
U.C.
U.C.
U.C.
U.C.
51
La rumeur ???
52
RAPPEL DU PLAN III. Les modèles
communicologiques Références historiques et
épistémologiques Théorie de la communication et
de linformation Applications à létude de
linteraction et analyse critique III.
Lapproche systémique Références historiques et
conceptuelles Applications à létude du concept
de vicariance Analyse critique et développement
du modèle IV. Psychologie et Cognition Modélisati
on des systèmes cognitifs Approche
développementale des grandes fonctions de la
cognition Evolution des modèles, perspectives de
recherche
53
Définition dun système
  • Système et modélisation

1
2
3
54
Hypothèses concernant le traitement de
l information sensorielle dans les systèmes
déficitaires
1. Hypothèse de la contagion interaction entre
les modalités sensorielles
2. Hypothèse de la vicariance transfert
intermodal
3. Hypothèse de la redondance charge mentale et
ratio signal/bruit
55
Hypothèse de la vicariance
- Vicariance organique, perceptive lorganisme
réagirait à la privation dun processus par
laugmentation des compétences dun autre (en
terme de seuils absolu ou/et différentiel)
- Vicariance hiérarchisée si on fait
lhypothèse dune certaine homéostasie du
système, alors la perte dune activitée serait
compensée par une sur-activitée dautres
processus. Cette suppléance serait hiérachisée,
cest-à-dire que certains processus seraient
privilégiés et interviendraient
préférentiellement pour assurer léquilibre
général du système. (Mykelbust, 1976)
- Vicariance cognitive tous les individus
seraient dotés des mêmes capacités fonctionnelles
mais ils ne disposeraient pas tous de la même
quantité dénergie pour les faire fonctionner.
(Spearman, 1965)
56
Les travaux de M. REUCHLIN (1978, 1990) et
d'OHLMANN th. (1990) expliquent qu'un individu,
placé dans une situation donnée, aurait à sa
disposition un nombre important de possibilités
pour arriver au but qu'il s'est fixé.
  __________(a)___________
réussite   SITUATIONgt __________(b)_________
__ gt REALISATION   __________(c)________
___ échec Cette personne
disposerait donc de plusieurs processus
vicariants (a, b, c) pour s'adapter à la
situation dans laquelle elle se trouve. Certains
de ces processus seraient, chez un sujet donné,
plus facilement évocables. La hiérarchie de cette
évocabilité serait différente d'un individu à un
autre pour des raisons pouvant tenir, par
exemple, à la présence d'un déficit.
57
Variabilité et vicariance
  • éloge de la variabilité intra-individuelle
    (Jacques Lautrey,
  • Laboratoire Cognition et Développement, Paris V)
  • . de lerreur de mesure à la variabilité
    intra-individuelle
  • en physique du bruit, à lordre de la matière
    entropie
  • théorie de lévolution la variabilité est le
    propre de lévolution
  • de la variabilité à la vicariance (le modèle
    fonctionnel de Siegler, 1989)
  • Différents processus, extraits dune base de
    connaissances, sont activés simultanément et crée
    une dynamique développementale
  • Les processus varient avec des pondérations
    différentes qui dépendent des individus et des
    situations
  • Des cheminements différents interviennent au
    cours du développement
  • de la vicariance hiérarchisée, vers
    lévocabilité des processus
  • (M. Reuchlin, 1976)
  • Multiplicités des possibles, hiérarchisation
    selon les contraintes
  • Recrutement différencié pour activer des
    processus avec des pondérations différentes
  • Vers une auto organisation des systèmes
    dynamiques non linéaires
  • Le système se stabilise autour dattracteurs
    plus ou moins stables

58
Transfert intermodal (Streri, 1991)
Habituation Paramètre de forme sous référentiel
tactile
Différenciation Transfert du tactile au visuel
59
Maturation différente.
Habib M. , Robichon F., Démonet J-f. (1996). Le
singulier cerveau des dyslexiques. La Recherche
80-85  Chez le dyslexique, le corps calleux est
plus gros et de forme différente.. (trop faible
mort neuronale chez le ftus à la fin de la
grossesse ??)
Déficit
Une grande partie des aires du langage (zones
pariétaleset frontale inférieures gauches) ne
sont que peu ou pas activées chez le dyslexique
Suppléance .
Neville H., Bavelier D. (1996). Lextension des
aires visuelles chez les sourds. Les cortex
visuel et auditif ne sont pas aussi distincts
quon croit. La Recherche 90-93 Les
prédispositions génétiques qui influent sur le
développement normal peuvent sadapter quand les
conditions environnementales diffèrent de
lordinaire. Les aires corticales normalement
spécialisées dans le traitement de stimuli
auditifs participent au traitement de
linformation visuelle chez les sourds
congénitaux 
60
Hypothèse de la redondance
- Approche générale face à un événement,
lindividu reçoit un nombre important
dinformations sur lensemble du registre
sensoriel. Ce corpus constitue une certaine
cohérence événementielle.
- Redondance, cohérence et discordance Lorsque
les messages reçus ne sont pas cohérents entre
eux, linformation peut se révéler
discordance. Ex lecture orale/labiale, sosies
labiaux, communication non verbale
- Redondance et bruit trop dinformations
créent du bruit (à quel seuil ?) Etude du message
signal/bruit
61
Approche systémique
mère
Enfant
père
62
Approche interactionniste et systémique
Mère
Enfant handicapé
père
fraterie
63
La famille comme système Incidence de la
survenue du handicap sur lhoméostasie du système
familiale
  • - annonce et phase de sidération
  • Phase apocryptique secretfaute
  • Phase performative instrumentation,
    instrumentalisation

64
Approche systémique et développementale Exemple
du génogramme Symbolic Drawing of the family life
space SDFS Gilli,Greco, Regalia, Banzatti
(1990) in Geddes M., Medway J. (1977) The
symbolic drawing of the family Space. Family
Process, 14, 219-228 bonne
relation ----------- relation peu satisfaisante
/ / / /
mauvaise relation
65
  • Système et modélisation

1
2
3
66
RAPPEL DU PLAN III. Les modèles
communicologiques Références historiques et
épistémologiques Théorie de la communication et
de linformation Applications à létude de
linteraction et analyse critique III.
Lapproche systémique Références historiques et
conceptuelles Applications à létude du concept
de vicariance Analyse critique et développement
du modèle IV. Psychologie et Cognition Modélisati
on des systèmes cognitifs Approche
développementale des grandes fonctions de la
cognition Evolution des modèles, perspectives de
recherche
67
La cognition, lintelligence Questions
préliminaires ???
  • quest ce que lintelligence ?
  • des intelligences
  • les évaluateurs de la cognition

68
  • Les modèles développementaux
  • Piaget . de lenfant à ladulte

Lenfant, sait-il Compter,classer, parler,.?
Permanence de lobjet ? Les Stades de
lintelligence
69
Le développement intellectuel selon la théorie
de Piaget
Le modèle piagétien assimilation, accommodation
  • De la naissance à ladolescence, lintelligence
    de
  • lenfant évolue en 4 phases appelés STADES
  • De 0 à 2 ans stade sensori-moteur
  • De 2 ans à 7 ans stade pré-opératoire
  • De 7 ans à 11 ans stade des opérations
    concrètes
  • 12 ans et au-delà stade des opérations formelles

70
  • La période sensori-motrice de 0 à 2 ans
  • Premières activités par essais erreurs
  • Premières relations entre des objets séparés
    1ers schèmes moteurs réactions circulaires
  • Les schèmes se généralisent à dautres
    situations intelligence adaptative avec
    coordination des informations sensorielles
  • Actes intentionnels et début des
    expérimentations
  • Recherches de moyens nouveaux à partir d
  • insigth

71
La catégorisation Ou sériation ou
classification Pour Lécuyer, une catégorie est
une représentation structurée de dimensions et de
caractéristiques communes à un ensemble
dobjets. Le bébé de 5 mois catégorise ???   Techn
ique de lhabituation  plus le bébé tête, plus
il est éveillé, plus il est attentif aux
stimulations. Si on lui présente toujours la
même chose, il se lasse cest
lhabituation LECUYER Phase dhabituation 
quatre stimuli dune même classe dobjets Phase
test  on présente successivement, soit un objet
de la classe soit un objet nouveau et on évalue
le degré de vigilance  Ex  phase dhabituation
   phase test            Couleurs
différentes et formes différentes Le stimulus
coloré de façon inverse ne sera pas reconnu comme
appartenant à la catégorie Tps de fixation
significativement gt si objet nouveau (de 370 à
407 centisecondes)
72
Le nombre   -          absence de
correspondance, terme à terme (4-5
ans)           -          conservation terme à
terme sans conservation pensée intuitive
préopératoire (5-6 ans)   -        - conservation
non durable (6-7 ans)   -         -
conservation durable (gt 7ans)   Et, pourtant, le
bébé compte ??? Ex de Karen Wynn (1982)
    A cinq mois, le bébé fixe plus longtemps
la situation impossible que le résultat logique
de laddition ou de la soustraction    
73
Bertarnd Troadec (1998) Psychologie du
développement cognitif, Edition Armand Colin,
Synthèse, Psychologie.Trois notions
logico-mathématiques  La conservation, La
catégorisation, Le nombre                  La
conservation Elle peut être défini comme un
processus délaboration de constantes ou
dinvariants. -          la permanence de lobjet
individuel vers 2 ans -          la conservation
du nombre dobjets, vers 6-7 ans -          la
conservation de la substance liquide et solide
vers 7-8 ans -          la conservation du poids
vers 9-10 ans -          la conservation du
volume vers 11-12 ans Ex conservation des
quantités  A1 A2 B3       MAIS LE
BEBE CONSERVE Ex  Mehler, Dupoux travail avec
des caches    Explication  Jérôme Bruner 
en fait le sujet traduit progressivement (sens
primitif) les objets en de nouvelles formes
dinvariants, de plus en plus complexes. Les
situations piagétiennes masqueraient, en fait
des formes de conservation par identité plus
précoces que celle proposée par Piaget
74
Psychologie cognitive Modèle structural
Superviseur conscient
Superviseur adaptatif
Intention
attention
EVOCATION
S
TRAITEMENT COGNITIF
TRAITEMENT SENSORI-MOTEUR
REPRESENTATIONS
Mémoire
ENVIRONNEMENT
ACTION
R
s
REGISTRE SENSORIEL Traitement en
parallèle multimédia
REGISTRE COGNITF Traitement séquentiel intermédia
Modèle de traitement cognitif de linformation
(inspiré de J. Paillard, 1985)
75
Exemples
- La batterie de Kaufman Kaufman Assessment
Battery for Children 1982 (de 2ans à 12 ans
½) 16 sous tests qui différencient deux types de
traitement lun séquentiel, lautre simultané.
Le KABC permet de calculer 5 scores processus
séquentiels, simultanés, séquentiels et
simultanés dans lintelligence fluide,
connaissance ou intelligence cristalisée,
performance (épreuves verbales)
- lexamen opératoire piagétien
76
Modèle structural de lintelligence et niveaux
danalyse
Niveau sémantique du traitement des
significations (savoirs, savoirs faire,
planification des programmes, interprétation,)
Niveau sémantique de lidentification (des
objets, des mots, accès en mémoire,)
Niveau infra-sémantique (Analyse du signal,
extraction de linformation, sélection des
caractéristiques du signal,)
77
Thèse 3ème cycle S. Portalier 1981
78
  • COGNITION CONATION
  • Influence de la personnalité
  • - Les dimensions de la personnalité
  • - Le style dattribution
  • La personnalité profonde Rorschach
  • Profil coarté coartitif de la personne sourde

79
Incidences sur les pratiques de lexamen clinique
Protocole individuel et analyse de cas
Tâche, situation problème, résolution de problèmes
Elaboration dheuristiques
80
Conclusion Handicap et développement
cognitif Remédiation et surdité Adaptation du
dispositif de prise en Charge Recherche-action
Write a Comment
User Comments (0)
About PowerShow.com