Title: Immunitй naturelle
1(No Transcript)
2Avant-propos sur les CD
- On désigne souvent les protéines cellulaires
(notamment membranaires) sous le terme de CDn
(CD1, CD2, CD3, CD4, etc.) - Pourquoi?
3Les anticorps monoclonaux
Injection des antigènes (ou des mélanges
dantigènes) contre lesquels on veut générer des
anticorps
4Les anticorps monoclonaux
Prélèvement du sang de la souris et fusion des
lymphocytes B avec des cellules immortalisées
obtention dhybridomes
5(No Transcript)
6Les anticorps monoclonaux
Screening des différents clones obtenus avec les
cellules utilisées pour limmunisation
7(No Transcript)
8Quest ce quun CD?
- CD cluster of designation
- nom initialement donné à lensemble des anticorps
monoclonaux dirigés contre les épitopes ou les
antigènes dune même protéine présente à la
surface cellulaire - par extension, le CDn désigne la protéine
elle-même les anticorps étant dénommés anti-CDn
9Utilisation des anticorps monoclonaux pour
caratériser les sous-populations de leukocytes
- Inoculation de leukocytes humains à des souris
- Génération danticorps monoclonaux dirigés contre
les protéines de membrane - Utilisation conjointe du westernblot et du Facs
pour définir - La nature de la protéine reconnue
- Les sous-populations sur laquelle elle est
présente
10Westerblot
Cytofluorimétrie
11Echange dinformations et dhybridomes lors de
workshops
- Des anticorps monoclonaux différents, produits
dans des labos différents reconnaissent dans
certains cas la même protéine - On dit alors que ces différents anticorps
appartiennent au même groupe (cluster) de
différenciation (CD) - Chaque workshop définit ainsi les CD par ordre de
description et établit pour chaque CD, les
propriétés de la protéine reconnue et les
cellules sur lesquelles on la trouve
12Les anticorps monoclonaux
Les clones A3 et B1 reconnaissent la même
protéine cest le même CD
13De lanticorps monoclonal à la protéine
- Au fur et à mesure des workshops, on a utilisé le
terme CD pour désigner les protéines membranaires
elles-mêmes et donné le nom danticorps anti-CD
aux monoclonaux correspondants
14Immunité naturelle
15Les barrières
16(No Transcript)
17Les défenses de barrière
- La peau et le sébum (rôle antibactérien des
acides gras) - Le mucus et lescalator muco-ciliaire
- Les flores saprophytes (intestin, vagin, etc.)
- Colicine
- Les milieux acides
- Protéines et peptides antimicrobiens
18(No Transcript)
19Les protéines et peptides antimicrobiens
- Produits par de multiples types cellulaires
- Glandes sous-muqueuses
- Cellules épithéliales
- Cellules spécialisées de limmunité naturelle
- Polynucléaires neutrophiles
- Macrophages
- Selon les cas, intervention extracellulaire,
intracellulaire (bactéries phagocytées) ou les
deux
20Les protéines et peptides antimicrobiens
- Espoir thérapeutique (cf. résistance aux
antibiotiques)
21Les protéines et peptides antimicrobiens
- Enzymes ex. lysozyme (250-500 mg/ml dans les
sécrétions nasales, salive, larmes) - Lactoferrine (chélation du fer)
- Défensines (feuillets b)
- b défensines (HBD-1 et HBD-2)
- Peau et tractus respiratoire
- a défensines (cryptidines)
- Cellules de Paneth de lintestin
- Cathélicidines (hélices a)
- Protéines A et D du surfactant (opsonines
primitives)
22Les protéines et peptides antimicrobiens
- Rôle essentiel dans les défenses de première
ligne - Activité des défensines et des cathélicidines
effondrée dans les poumons des enfants
mucoviscidosiques - Inhibition fréquente par hautes concentrations en
sel (cf. mucoviscidose) - Nouvelles approches thérapeutiques agissant sur
la concentration saline du mucus - Autres mécanismes?
23La plupart des cellules de lorganisme
participent à limmunité naturelle
- La plupart des cellules sont capables de
percevoir la présence dun microorganisme
pathogène - En réponse à cette perception, elles attirent sur
place des cellules plus spécialisées de
limmunité naturelle (phagocytes)
24Systèmes de perception des microorganismes
pathogènes
- Signatures (stéréotypes) moléculaires sur les
microbes PAMP (pathogen associated molecular
patterns) - Ne sont pas présents chez lhôte
- Sont partagés par de grands groupes dagents
pathogènes - Sont relativement peu variables (à la différences
de lhémagglutinine et de la neuraminidase p.ex.)
25Exemples de PAMP (signatures)
- Flagelline des flagelles bactériens
- Peptidoglycan des bactéries à G
- Lipopolysaccharide (endotoxine) des bactéries à
G- - RNA double brin
- DNA non méthylé
26Récepteurs aux PAMP PRR
- Pattern recognition receptors
- Trois types
- senseurs membranaires ou intracellulaires
- Rôle dans la reconnaissance du microbe et le
déclenchement de la réponse immunitaire
(récepteur dalarme) ex. Récepteurs TOLL (TLR) - Sont présents sur la plupart des cellules de
lorganisme - effecteurs membranaires
- Déclenchent la phagocytose du microbe
- Uniquement présent sur les cellules
spécialisées de limmunité naturelle - Solubles
- Interagissent directement avec le microbe
27Récepteurs de la famille Toll
- Les lipopolysaccharides (LPS) des bactéries
Gram-, les récepteurs de la famille Toll et le
CD14
28(No Transcript)
29Lipopolysaccharide (LPS) endotoxine
- Composant du feuillet externe de la membrane des
bactéries Gram- - Lipide A (responsable de la toxicité)
polysaccharides - Responsable du choc septique induit par les
bactéries Gram - Choc septique phénomène actif lié à la réponse
de limmunité naturelle à la toxine
30Protéines Toll
- Protéines identifiées initialement chez les
insectes (drosophiles) et impliquées à la fois
dans le développement et dans la résistance à
certaines infections - Equivalent des protéines Toll chez les mammifères
(toll like receptors) - Les souris TLR4 KO ne font jamais de choc
septique après injection de LPS!
31CD14 marqueur des cellules phagocytaires
32Le Toll like receptor 4 appartient au récepteur
du LPS
Intérêt éventuel à bloquer les signaux induits
par le LPS chez les patients en choc septique
33TLR et activation des phagocytes
- le facteur NF-kb
- facteur transcriptionnel pivot des réponses
phagocytaires
34Famille de TLR
- TLR-2 protéoglycans des Gram
- TLR-3 dsRNA
- TLR-4 LPS
- TLR-5 flagelline
- TLR-7 ssRNA viral
- TLR-8 ssRNA viral
- TLR-9 CpG non méthylés du DNA
- Etc.
35Les phagocytes
- 1. Polynucléaires neutrophiles (et dans une
moindre mesure les polynucléaires éosinophiles) - 2. Monocytes macrophages
- 3. Cellules dendritiques
36Hématopoïèse
371. Cellules pluripotentes
Enorme capacité dauto-renouvellement et de
différenciation
38- Cellules pluripotentes
- Cellule souche myéloïde (par opposition à
lymphoïde)
39- Cellule pluripotente
- Cellule souche myéloïde (par opposition à
lymphoïde) - Progénitrice commune aux neutrophiles et aux
cellules mononucléées (mono/macro et cellules
dendritiques)
40- Cellule pluripotente
- Cellule souche myéloïde (par opposition à
lymphoïde) - Progénitrice commune aux neutrophiles et aux
cellules mononucléées (mono/macro et cellules
dendritiques) - Rôle des cytokines dans la différenciation
GM-CSF et G-CSF
41Les polynucléaires ou granulocytes
- un seul noyau mais polylobé (doù le nom
polynucléaire) - 60 à 70 des leucocytes sanguins
- turnover très élevé (durée de vie courte)
- classification selon le type de granules
42Les polynucléaires ou granulocytes
- un seul noyau mais polylobé (doù le nom
polynucléaire) - 60 à 70 des leucocytes sanguins
- turnover très élevé (durée de vie courte)
- classification selon le type de granules
43Polynucléaires neutrophiles
Collagénase Lactoferrine Lysozyme
Lysozyme Peroxydase autres enzymes...
44Polynucléaires neutrophiles
- ou neutrophiles , cest le type de
polynucléaires le plus important en nombre et en
fonction - 1ère ligne de défense contre de nombreux types de
germes - tuent les microbes intracellulaires de façon plus
efficace que les macrophages
45Trois types cellules cellulaires souvent associés
en pathologie
- Multiples médiateurs inflammatoires
- Intervention dans les phénomènes allergiques et
inflammatoires - Polynucléaires éosinophiles, basophiles et
mastocytes
46Polynucléaires éosinophiles
- Rôle dans la défense anti-parasitaire
- Multiples médiateurs de linflammation
47Eosinophiles et inflammation
48Polynucléaires basophiles
49Mastocytes
- Cellules associées aux muqueuses, aux épithéliums
et aux endothéliums (notamment veinules
postcapillaires) - Participent à la première ligne de défense
- directement (p.ex. cathélicidines)
- soit par attraction dautres phagocytes
(chimiotactisme)
50Monocytes et macrophages
51Monocytes et macrophages
Sang
Tissus
52Macrophages
- Poumon macrophages alvéolaires
- Tissus conjonctifs histiocytes
- Rein cellules mésangiales
- Foie cellules de Küpfer
- Cerveau microglie
- Os ostéoclastes
53Les cellules dendritiques
54Les cellules dendritiques
- Différents dénominations selon le site et la
létat de différenciation/activation - peau et muqueuses cellules de Langerhans
- organes cellules dendritiques interstitielles
- organes lymphoïdes cellules dendritiques
interdigitantes - sang cellules dendritiques circulantes (veiled
cells)
55Cellules dendritiques
- Patrouillent dans les tissus
- Deux fonctions différentes selon le site
56(No Transcript)
57Phagocytes et présentation dantigène
- Polynucléaires neutrophiles, macrophages et
cellules dendritiques sont trois types de
phagocytes - Les cellules dendritiques et les macrophages sont
CMH II pas les polynucléaires neutrophiles donc
pas de rôle des neutrophiles dans la présentation
des antigènes aux lymphocytes T CD4 - Les cellules dendritiques sont les plus efficaces
cellules présentatrices dantigènes aux
lymphocytes T CD4 - Ne confondez pas cellules dendritiques et
cellules folliculaires dendritiques (CMH II
négatives et non présentatrices dantigènes sensu
stricto)
58Macrophages et cellules dendritiques possèdent la
protéine CD4
- Rôle?
- La présence de la molécule CD4 rend les
macrophages et les cellules dendritiques
susceptibles à linfection par le VIH
59Les récepteurs des phagocytes
- Trois grands types de récepteurs
- récepteurs pour des produits microbiens
- récepteurs pour des facteurs humoraux ou
cellulaires qui facilitent la phagocytose - récepteurs pour des ligands qui activent ou
orientent les déplacements des cellules
phagocytaires vers les sites inflammatoires
60Immunité non adaptative
Reconnaissance de PAMP Pathogen Associated Mole
cular Patterns
Structures moléculaires hautement conservées et
présentes dans de larges groupes de
microorganismes stéréotypes moléculaires
associés aux pathogènes
61Récepteurs aux produits microbiens (pattern
recognition receptors PRP)
- Le récepteur au mannose (MR ou M/FR) et sa famille
62Le récepteur au mannose et sa famille
Domaine de type lectine (site de la liaison au
résidus mannosyl et fucosyl)
63Lectines
- protéines ou glycoprotéines capable de se lier à
certains résidus glucidiques - origine non immunitaire
- capable comme un anticorps dagglutiner ou de
précipiter des cellules ou des glycoconjugués - isolées initialement chez des végétaux mais
molécules voisines (lectin-like) présentes chez
les bactéries et les animaux
64Le récepteur au mannose et sa famille
Domaine de type lectine (site de la liaison au
résidus mannosyl et fucosyl)
Liaison à de nombreux microorganismes Gram-,
Gram, mycobactéries, champignons, parasites
65Récepteur f-Met-Leu-Phe
- Récepteurs pour peptides N-formylés de nombreuses
bactéries - Récepteur chimiotactique
66Récepteurs aux PAMP avec propriétés différentes
- Récepteur au mannose phagocytose
- Récepteurs Toll signal dactivation
- Récepteur FMLP chimiotactisme
67Récepteurs pour des facteurs humoraux de la
réponse immunitaire
- Opsonines-opsonisation
- opsonein je prépare le repas
- Facilitation de la phagocytose des
microorganismes par des produits humoraux de la
réponse immunitaire (immunoglobulines ou
fragments du complément activé)
68Récepteurs pour des facteurs humoraux de la
réponse immunitaire
- Récepteurs pour lextrémité Fc (cristallisable ou
constant) des immunoglobulines
Portion Fc
69Récepteurs pour des facteurs humoraux de la
réponse immunitaire
- Récepteurs pour lextrémité Fc des
immunoglobulines - Selon la classe dimmunoglobuline reconnue (IgG,
ou IgE), les récepteurs (FcgR, FceR) ont des
structures et des distributions cellulaires
différentes
70Récepteurs pour des facteurs humoraux de la
réponse immunitaire
- Récepeurs pour des fragments du complément activé
- CR1
- CR3
71Le processus de phagocytose
- Quatre étapes
- chémotactisme
- adhésion
- phagocytose (sensu stricto)
- microbicidie
- oxydative
- non-oxydative
72Phagocytose
- Phénomène actif et consommateur dénergie
- Efficacité accrue par lopsonisation
73Microbicidie (ou bactéricidie) intracellulaire
- Deux mécanismes différents
- phénomènes oxydatifs
- dépend de la production dintermédiaires réactifs
de loxygène qui ont un rôle microbicide - phénomène inductible explosion respiratoire
- phénomènes non oxydatifs
- dépend de la production de peptides antibactériens
74Microbicidie oxydative
Myélopéroxydase
NO synthase
NADPH oxydase
75Microbicidie oxydative
Dépendance du NADPH fourni par le shunt des
pentoses
76Microbicidie oxydative
NO nombreuses fonctions indépendantes de son
rôle microbicide
77Microbicidie oxydative
- Phénomènes qui consomment beaucoup dénergie et
sont donc sensibles aux maladies où lapport
cellulaire en énergie est perturbé diabète mal
équilibré - Dans certaines maladies génétiques, une des trois
enzymes est déficiente les germes prolifèrent à
lintérieur des phagocytes, ce sont les maladies
granulomateuses chroniques
78Microbicidie oxydative
- Phénomènes qui consomment beaucoup dénergie et
sont donc sensibles aux maladies où lapport
cellulaire en énergie est perturbé diabète mal
équilibré - Dans certaines maladies génétiques, une des trois
enzymes est déficiente les germes prolifèrent à
lintérieur des phagocytes, ce sont les maladies
granulomateuses chroniques
79Microbicidie oxydative
- A létat de repos, les macrophages et monocytes
sont généralement moins efficaces que les
polynucléaires neutrophiles pour la microbicidie
oxydative et dépendent étroitement de laide des
lymphocytes T
80Microbicidie non oxydative
- existent aussi souvent dans les sécrétions
- Enzymes microbicides
- Hydrolases lysozyme (muramidase) destruction
de la paroi bactérienne des G glycosidases,
lactoferrine, élastase, cathepsines - Protéines cationiques protéines
antibiotiques - défensines petites molécules (29-35 aa)
possédant trois ponts disulfures et dont
lactivité est inhibée quand la concentration en
sels (Cl-) est trop élevée
81(No Transcript)
82Exocytose
- processus alternatif mis en place par les
macrophages et les polynucléaires neutrophiles
quand la phagocytose est impossible - moins sélective
- moins efficace
- processus principal dautres types cellulaires
comme les polynucléaires éosinophiles et
basophiles
83Polynucléaires éosinophiles
84Polynucléaires éosinophiles
85Cytotoxicité (à médiation cellulaire)
- Lymphocytes T cytotoxiques CD8
- Cellules tueuses naturelles (natural killer ou
NK) - Cellules K et phénomène ADCC
86Lymphocyte T cytotoxique (CD8)
Polarisation et exocytose dépendent dun
accroissement du Ca i dans le lympho.
cytotoxique
87Deux constituants dans les granules
- Perforines
- forment des trous dans la membrane de la cellule
cible (comme le complément) - Sérine Protéases (granzymes)
88Perforines des lymphocytes T cytotoxiques
89Deux voies dinduction de lapoptose de la
cellule cible
90Deux voies dinduction de lapoptose de la
cellule cible
A la différence des autres lymphocytes les
lymphocytes T cytotoxiques activés expriment le
Fas ligand
91Lymphocyte T cytotoxique
- 1. Il entre en contact avec sa cible
- 2. La reconnaissance spécifique de lantigène
MHC I déclenche un accroissement du calcium
intracellulaire - 3. Les granules se polarisent puis se vident à
linterface avec la cellule cible - 4. Les monomères de perforine se polymérisent et
forment des trous dans la cellule cible - 5. Les sérines protéases (granzymes) entrent par
ces trous et en synergie avec linteractions
Fas/Fas ligand déclenchent lapoptose de la
cellule cible
92Lymphocyte T cytotoxique
- Le lymphocyte cytotoxique ne tue pas la cellule
cible, il la contraint surtout à se suicider...
93Les cellules tueuses naturelles (NK)
94Les cellules tueuses naturelles
- Toujours prêtes pas besoin de sensibilisation,
ni de différenciation préalables... - Mécanismes lytiques (perforines et granzymes) les
mêmes que ceux des lymphocytes T cytotoxiques
95Cellules NK
- Cellules de la lignée lymphoïde mais qui ne sont
- ni B (pas dIg de membrane ou cytoplasmique)
- ni T (pas de TCR)
96Quel type de cellules reconnaissent les NK?
- Cellules infectées
- Cellules tumorales
- Parasites
97Comment ça marche?
98Base moléculaire de la discrimination par les
cellules NK
- comment reconnaître une cellule transformée ou
infectée par un virus quand on na pas de TCR? - première piste la cellule NK reconnaît une
sorte de PAMP à la surface de ces cellules...
20 ans de recherche, jamais rien trouvé de tel!
99Base moléculaire de la discrimination par les
cellules NK
- comment reconnaître une cellule transformée ou
infectée par un virus quand on na pas de TCR? - deuxième piste la cellule NK perçoit labsence
dune structure normalement présente sur les
cellules de lorganisme
100Les récepteurs KIR (Killer Inhibitory Receptors)
101La perte des molécules MHC est un moyen
fréquemment utilisé par les cellules tumorales ou
par les cellules infectées par des virus pour
échapper au contrôle des lymphocytes T
cytotoxiques CD8 ...
102cela rend les cellules en question plus sensibles
à lactivité des NK. Lévolution a conservé les
NK aux côtés des lymphocytes T cytotoxiques pour
contrecarrer les mécanismes déchappement des
virus...
103 Cellules K et ADCC
- ADCC antibody dependent cell-mediated
cytotoxicity
104(No Transcript)
105 Cellules K et ADCC
- ADCC antibody dependent cell-mediated
cytotoxicity - Les cellules K correspondent à une fonction
particulière que peuvent exercer plusieurs types
cellulaires (NK, macrophages, polynucléaires) - Les cellules K ne sont pas une lignée en soi
106Conclusion
- Immunité naturelle
- Première ligne de défense contre les agents
infectieux - Rôle fondamental dans linitiation des réponses
adaptatives - Réponses peu ciblées, stéréotypées
- Inflammation
107Inflammation
- Linflammation est souvent le reflet dune
activation de limmunité naturelle