Title: Prfecture de Seine Maritime
1- Préfecture de Seine Maritime
- Mise en uvre du règlement de sécurité applicable
aux canalisations de transport de matières
dangereuses - ( arrêté multifluide du 4 août 2006 )
- et de la circulaire porter à connaissance du 4
août 2006
2Canalisations de TransportLétat des lieux
Les 50 200 km de canalisations sont un moyen de
transport de matières dangereuses globalement
sûr, comparé aux autres modes possibles.
Toutefois
- bien quils soient rares, les accidents peuvent
être très graves (cf. Ghislenghien en Belgique le
30 juillet 2004, et en France Rosteig le 28
juillet 1989, Villepinte le 5 octobre 1985) - les réseaux vieillissent moyenne dâge 29 ans
en 2006 - lurbanisation a beaucoup progressé au voisinage
de certaines canalisations - la prévention des accrochages lors de travaux
proches doit être encore renforcée. (responsable
de 2/3 des fuites, et de la quasi totalité des
ruptures)
3Caractéristiques générales des réseaux de
transport
4Comparaison de laccidentologie desdifférents
modes de transport (source UIC)
Moyenne sur la période 1998 - 2003 / MT
Millions de tonne
5Accidentologie Les principaux accidents dans le
Monde
- 2006 Algérie (Bekhaïtia) - Rupture de gazoduc
par corrosion externe en zone de marais salin -
78 blessés - 2004 Belgique (Ghislenghien) - Rupture dun
gazoduc au sein dune zone dactivité - 24 morts - 1989 URSS (Chelyabinsk) - Rupture dun pipeline
de mélange butane - propane concomitante avec le
passage de 2 trains - 645 morts - 1984 Brésil (Cubatao - Sao Paulo) - Explosion
dessence après rupture dun pipeline - 508 morts - 1984 Pakistan (Galui Dhao) - Explosion dune
canalisation de gaz naturel (20 à 60 morts selon
les sources) - 1984 Pérou (Callao) - Rupture dun pipeline de
tétra éthylène - 3000 personnes évacuées - 1978 Mexique (Huimanguille) - Rupture dun
gazoduc - 58 morts
6Accidentologie Les principaux accidents en France
- Gaz
- Tremblay-en-France (93 - Villepinte) - 5/10/85 -
rupture dun gazoduc suite à des travaux de
terrassement - 3 morts - Brain-sur-Longuenée (49) - 20/9/85 - rupture dun
gazoduc suite à des travaux de terrassement - 1
mort - Martigues (13) - 17/11/79 - accrochage dun
gazoduc dans létang de Berre par une ancre - 1
mort - Hydrocarbures
- Rosteig (67) - 28/7/89 - inflammation dune fuite
en aérosol de naphta suite à des travaux de tiers
- 3 morts - Produits Chimiques pas daccident mortel
- 3 incidents importants sur la canalisation
déthylène Etel Flachères (38) le 3/4/90,
Attignat (01) le 19/9/88 et Bruailles (71) le
28/11/80 - 1 incident important sur le chloroduc Chloralp
Champagnier (38) le 21/5/05
7Les orientations retenues par le ministère de
lindustrie suite à laccident de Ghislenghien
- Uniformiser les règlements de sécurité
applicables aux canalisations de transport. - Encadrer et généraliser les porters à
connaissance du risque lié au transport de
matières dangereuses par canalisations. - Proposer la modernisation des dispositions
législatives actuelles (8 lois), ainsi que des
décrets relatifs aux procédures et à la sécurité
(9 décrets). - Moderniser les procédures de déclaration de
travaux pour diminuer les agressions par travaux
tiers.
8Les premières actions menées
- Élaboration dun arrêté unique dit
multifluide sur la sécurité des canalisations
de transport - cet arrêté a été signé le 4 août 2006 (industrie
intérieur équipement), et publié le 15
septembre 2006 (date dapplication effective) - Rédaction dune circulaire sur les porters à
connaissance destinée aux préfets, aux DRIRE et
aux DDE - cette circulaire a été également signée le 4 août
2006 (industrie équipement) et diffusée elle
a été publiée au BO du Minefi (BO n19 - 3ème
trimestre 2006) et au BO de lÉquipement (BO du
25 août et du 25 septembre 2006)
9Canalisations de TransportDéfinition
réglementaire
- Une canalisation de transport comprend une ou
plusieurs conduites ou sections de conduites
implantées à l'extérieur des installations ou
établissements qu'elles relient ainsi que,
lorsqu'elles existent et contribuent au
fonctionnement de la canalisation, les
installations annexes ci-après - station de pompage ou de compression
- station de réchauffage, de filtrage, de mélange,
d'odorisation ou de détente - station de mesurage des quantités transportées ou
de contrôle de la qualité du produit - vannes en ligne de sectionnement ou de dérivation
- poste de livraison ou terminal
- tout autre élément susceptible de contenir le
produit transporté sous pression et contribuant,
de façon directe ou indirecte, au transport de ce
produit - installations d'interconnexion avec d'autres
canalisations de transport, conduites directes ou
réseaux de distribution.
10Canalisations de Transportnon concernés par le
règlement de sécurité
- Le règlement de sécurité ne concerne pas
- les canalisations relevant du code minier
- les canalisations de transport sous-marines,
jusqu'au premier organe d'isolement terrestre - les canalisations constitutives des aménagements
hydrauliques tels que les barrages
hydroélectriques, les réseaux d'adduction d'eau
potable ou d'irrigation et les conduites forcées
- les canalisations de distribution de gaz
combustibles - les canalisations et tuyauteries qui relèvent du
décret du 13 décembre 1999 - les canalisations situées en totalité à
l'intérieur du périmètre d'installations classées
adjacentes.
11Canalisations de TransportFluides concernés
- Les fluides transportés sont rangés, selon les
dangers qu'ils présentent au sens de l'article R.
231-51 du code du travail, dans cinq classes qui
déterminent des conditions de sécurité auxquels
doivent répondre les canalisations - classe A liquides non inflammables à base d'eau
- classe B fluides inflammables ou toxiques en
phase liquide à la température ambiante et dans
les conditions de pression atmosphérique - classe C fluides non inflammables et non
toxiques, en phase gazeuse à la température
ambiante et dans les conditions de pression
atmosphérique, y compris l'oxygène - classe D gaz combustibles au sens de l'article
4 de l arrêté multifluide - classe E fluides autres que ceux relevant de la
classe D, inflammables ou toxiques en phase
gazeuse à la température ambiante et dans les
conditions de pression atmosphérique, qu'ils
soient transportés sous forme gazeuse ou
liquéfiée.
12Lévolution des règlements de sécuritédes
Canalisations de Transport
Les installations anciennes ont parfois aussi
été réglementées par des arrêtés ICPE (1) cet
arrêté reste en vigueur pour les canalisations
minières sortant des périmètres miniers (2) cet
arrêté reste totalement en vigueur pour les
réseaux de chaleur (vapeur et eau surchauffée)
13Autres actions menéesà long terme
- Établissement dun projet dordonnance, dans le
cadre du projet de loi de simplification du droit
(PLS3), avec 2 objectifs - sécurité harmoniser et clarifier les
dispositions applicables aux 3 catégories de
produits transportés (gaz, hydrocarbures et
produits chimiques) - régimes dautorisation et de déclaration
harmoniser les régimes applicables aux
hydrocarbures et aux produits chimiques, en
cohérence avec ceux applicables au gaz - Préparation dun projet de décret dapplication
unique réglementant la sécurité et les procédures
dautorisation - Révision du décret du 14 octobre 1991 relatif aux
DR et aux DICT
14Services centraux et Divisions des DRIRE
concernés par les canalisations de transport
(1) une exception le contrôle des canalisations
pétrolières en service intéressant la Défense
(notamment lODC et le DMM) est effectué par la
Direction Centrale du Service des Essences des
Armées (DCSEA - lieutenant-colonel Philippe
DELAPORTE), en liaison avec les DRIRE concernées,
chargées des PAC
15Vos interlocuteurs de la DRIRE Haute Normandie
16- Mise en uvre du règlement de sécurité du 4 août
2006 - (arrêté multifluide)
17Les principes sur lesquels sappuie larrêté
multifluide
- Nouvelle approche
- quelques exigences essentielles
- référence à des normes et guides professionnels
reconnus. - Dépassement du strict contrôle technique des
ouvrages neufs - surveillance et maintenance des réseaux en
service - prise en compte de lenvironnement de la
canalisation. - Cohérence interministérielle
- analyse de la sécurité fondée sur les risques
réels (probabilité et gravité) et non sur une
approche forfaitaire - application des seuils deffets retenus pour les
installations classées.
18Impact de larrêté multifluide
- Définition de catégories d emplacement pour tous
les fluides et protection du tracé (art. 7 et 8)
- larticle 7 donne des prescriptions concernant
les caractéristiques mécaniques des canalisations
selon leur environnement - larticle 8 détaille la compatibilité entre
certaines constructions (établissements recevant
du public, immeubles de grande hauteur, ) et la
proximité des canalisations. - Surveillance des canalisations en service (art.
13) - tout élément dune canalisation en service doit
faire lobjet dun examen au minimum décennal et
de la maintenance qui en résulte.
19Impact de larrêté multifluide
- Évolution de lenvironnement (art. 14)
- tout changement de la catégorie demplacement dû
à de nouvelles constructions près de la
canalisation doit conduire à un renforcement de
la sécurité de louvrage - Renforcement de la sécurité des ouvrages
existants (art. 19) - en sappuyant sur leur système dinformation
géographique désormais obligatoire et sur des
études de sécurité, les transporteurs proposent
un programme sur au plus 6 ans / 12 ans de
renforcement de la sécurité de lexistant au
regard des catégories demplacement et des
caractéristiques des canalisations.
20Contrôle technique et de sécurité des
canalisations
- Contrôle des installations en service - Étude de
sécurité - avant le 16 septembre 2009, des études de
sécurité doivent être fournies ou mises à jour
la périodicité de révision approfondie est
ensuite de 5 ans - cette obligation nécessite un suivi très attentif
des DRIRE, car cest le point de départ de la
mise en conformité des ouvrages vis à vis de leur
environnement - sans attendre ce délai de 3 ans, il y a urgence à
obtenir les distances deffets pour les
communiquer dans le cadre du porter à
connaissance afin de prendre en compte les
bandes deffets dans les évolutions de
l urbanisation - les études de sécurité doivent également être
mises à jour lors de tout aménagement urbain
modifiant la catégorie demplacement (art. 14)
21Circulaire du 4 août 2006 sur le porter à
connaissance
22Circulaire du 4 août 2006 sur lesPorters à
connaissance
- Objet
- application larticle L. 121-2 du code de
lurbanisme de porter à la connaissance des
maires les risques naturels et technologiques
présents sur leur commune - les critères dacceptabilité du risque sont ceux
définis par le règlement de sécurité du 4 août
2006, notamment les articles 7 et 8 - Principes généraux
- inviter les maires à interdire la construction ou
lextension dERP et dIGH de plus de 300
personnes dans la zone des premiers effets
létaux, de plus de 100 personnes dans la zone des
effets létaux significatifs - Maîtriser la densification a proximité des
canalisations afin de ne pas modifier les
catégories d emplacement ( antériorité )
23Modalités dapplication de la Circulaire du 4
août 2006 sur les Porters à connaissance
- Pour les transporteurs
- Réaliser ou mettre à jour les études de sécurité
et les fournir à lÉtat pour que les préfets,
avec lappui des DRIRE et des DDE, puissent mener
cette action - Pour ladministration
- Une fois les informations techniques réunies et
reconnues, prescrire aux maires et collectivités
en charge de laménagement les possibilités liées
à l urbanisation dans les zones de danger
générées.
24Zones d'effets des phénomènes accidentels
Définition réglementaire
- Bandes axées sur la canalisation à l'intérieur
desquelles sont atteints ou dépassés des seuils
de toxicité, de surpression, ou de dose thermique
qui peuvent conduire, sur les personnes, à la
suite d'une perte de confinement, à des effets
irréversibles, aux premiers effets létaux, ou à
des effets létaux significatifs, au sens de la
réglementation applicable aux valeurs de
référence de seuils d'effets des phénomènes
accidentels des installations classées pour la
protection de l'environnement. - Pour la délimitation des zones d'effets
significatifs sur la vie humaine, les seuils
d'effets de référence qui sont les mêmes que pour
les installations classées, sont les suivants - les seuils des effets irréversibles (SEI) . Cest
la zone des dangers significatifs pour la vie
humaine - les seuils des premiers effets létaux (PEL)
correspondant à une concentration létale de 1 .
C est la zone des dangers graves pour la vie
humaine - les seuils des effets létaux (ELS) significatifs
correspondant à une concentration létale de 5 .
C est zone des dangers très graves pour la vie
humaine.
25Détermination des zones deffets
- Les transporteurs étudient et analysent
lensemble des risques que peuvent présenter
leurs ouvrages en cas de fuite de produit, dans
le cas d une brèche de 12mm et dans le cas
d une rupture complète. Les distances deffets
calculées sont fonction du type de produit, la
pression maximale de transport, les
caractéristiques et lemplacement des
canalisations. - Les risques retenus peuvent être les suivants
- le risque toxique
- le risque thermique (en cas d inflammation)
- le risque liés aux effets de surpression (en cas
d explosion) - le risque missile (projection de fluide et /
ou de débris) -
- Une fois les différents risques analysés, la
distance la plus grande est retenue et fera
lobjet dun porter à connaissance. - Cest dans les bandes deffets (premiers effets
létaux PEL et effets létaux significatifs
ELS ) ainsi définies que certaines contraintes
daménagements sappliquent.
26Détermination des zones de danger dune
canalisation
Canalisation
A partir des distances calculées, on défini la
zone d effet ou s appliqueront les
contraintes durbanisation liées à l application
du règlement de sécurité
Dans cet exemple, une canalisation transportant
un produit toxique qui peut être explosif se
rompt. On évalue pour chacun des risques la
distance maximale à laquelle les dangers sont
dits graves.
La distance retenue pour la maîtrise des risques
est la plus importante.
27Exemples daugmentations de la densité
doccupation dans la zone des effets létaux
significatifs Article 7 du règlement de sécurité
28Exemple fictif. Zone des effets létaux
significatif cas de rupture complète
65m. facteur déterminant densité / ha dans le
cercle glissant (1,3 ha) lt 8 p./ha (3
logem./ha) cat. A de 8 p./ha à 80 p./ha
cat. B gt 80 p./ha (32 logem./ha) cat. C
Effets létaux significatifs
65 m
10 m
Cana
10 m
Effets létaux significatifs
65 m
Logement (définition de lA.M. du 4/8/2006 -gt un
logement est considéré comme occupé en moyenne
par 2,5 personnes )
29Exemple fictif. Zone des effets létaux
significatif cas de rupture complète
65m. facteur déterminant densité / ha dans le
cercle glissant (1,3 ha) lt 8 p./ha (3
logem./ha) cat. A de 8 p./ha à 80 p./ha
cat. B gt 80 p./ha (32 logem./ha) cat. C
Effets létaux significatifs
65 m
10 m
Cana
10 m
Effets létaux significatifs
65 m
Logement (définition de lA.M. du 4/8/2006 -gt un
logement est considéré comme occupé en moyenne
par 2,5 personnes )
Canalisation de transport conforme catégorie A
Canalisation de transport modifiée pour être
conforme catégorie B
30Exemple fictif. Zone des effets létaux
significatif cas de rupture complète
65m. facteur déterminant Logement à moins de
10m de la canalisation lt 8 p./ha (3 logem./ha)
cat. A de 8 p./ha à 80 p./ha cat. B gt 80
p./ha (32 logem./ha) cat. C
Effets létaux significatifs
65 m
10 m
Cana
10 m
Effets létaux significatifs
65 m
logement
31Exemple fictif. Zone des effets létaux
significatif cas de rupture complète
65m. facteur déterminant densité / ha dans le
cercle glissant (1,3 ha) lt 8 p./ha (3
logem./ha) cat. A de 8 p./ha à 80 p./ha
cat. B gt 80 p./ha (32 logem./ha) cat. C
Effets létaux significatifs
65 m
10 m
Cana
10 m
Effets létaux significatifs
65 m
collectif 40 logements soit selon la définition
de larrêté 2.5 32 80 habitants
logement
32Effets létaux significatifs
180 m
Exemple fictif. Zone des effets létaux
significatif cas de rupture complète 180
m facteur déterminant nb total dans le cercle
glissant 10 ha lt 30 p. (12 logem.) cat. A de
30 p. à 300 p. cat. B gt 300 p. (120
logem.) cat. C
10 m
Cana
10 m
logement
Effets létaux significatifs
180 m
33Effets létaux significatifs
180 m
Exemple fictif. ELS cas de rupture complète 180
m facteur déterminant nb total dans le cercle
glissant (10 ha) lt 30 p. (12 logem.) cat.
A de 30 p. à 300 p. cat. B gt 300 p.
(120 logem.) cat. C
10 m
Cana
10 m
logement
Effets létaux significatifs
180 m
34Effets létaux significatifs
180 m
Exemple fictif. ELS cas de rupture complète 180
m facteur déterminant nb total dans le cercle
glissant (10 ha) lt 30 p. (12 logem.) cat.
A de 30 p. à 300 p. cat. B gt 300 p.
(120 logem.) cat. C
10 m
Cana
10 m
collectif 40 logements
logement
Effets létaux significatifs
180 m
35Exemples dimplantation détablissement recevant
du public dans la zone des effets létaux
significatifs ou la zone des premiers effets
létaux Article 8 du règlement de sécurité
361ers effets létaux
140 m
ERP 120 personnes
Effets létaux significatifs
100 m
Exemple fictif. PEL 140 m / ELS 100m Art. 8
protection du tracé 2 cercles glissants 1ers
effets létaux pas d'ERP gt 300p. effets létaux
signif. pas d'ERP gt 100p.
Cana
Effets létaux significatifs
100 m
1ers effets létaux
140 m
371ers effets létaux
140 m
Effets létaux significatifs
100 m
Exemple fictif. PEL 140 m / ELS 100m Art. 8
protection du tracé Art. 7 2 cercles
glissants 1ers effets létaux pas d'ERP gt
300p. effets létaux signif. pas d'ERP gt 100p.
Cana
Effets létaux significatifs
100 m
ERP
1ers effets létaux
140 m
381ers effets létaux
140 m
Effets létaux significatifs
100 m
Exemple fictif. PEL 140 m / ELS 100m Art. 8
protection du tracé 2 cercles glissants 1ers
effets létaux pas d'ERP gt 300p. effets létaux
signif. pas d'ERP gt 100p.
Cana
Effets létaux significatifs
100 m
1ers effets létaux
140 m
391ers effets létaux
140 m
Effets létaux significatifs
100 m
Exemple fictif. PEL 140 m / ELS 100m Art. 8
protection du tracé 2 cercles glissants 1ers
effets létaux pas d'ERP gt 300p. effets létaux
signif. pas d'ERP gt 100p.
Cana
Effets létaux significatifs
100 m
1ers effets létaux
140 m
40Exemple fictif. PEL 140 m / ELS 100m Art. 8
protection du tracé Mise en oeuvre de mesures
compensatoires visant à réduire le risque à la
source 1ers effets létaux pas d'ERP gt
300p. effets létaux signif. pas d'ERP gt 100p.
350 personnes
Cana
Zone résiduelle des premiers effets létaux après
réduction du risque
Tronçons de canalisation pour lesquels ont été
mises en place des mesures afin de réduire le
risque à la source
ERP
41Actions à mener rapidement
- Actions principales et urgentes menée
- Porter à connaissance
- réaliser une première opération de communication
en attendant la disponibilité des distances de
danger reconnues, - à partir de distances de danger reconnues, porter
à connaissance les distances et les prescriptions
applicables à lurbanisation (en particulier
selon les art. 7 et 8 de larrêté multifluide)
42Merci de votre attention !
- Vous trouverez cette présentation ainsi que
dautres documents sur notre site internet à
l adresse - http//www.haute-normandie.drire.gouv.fr/canalisat
ions